Affaire Guillaume Meurice : Radio France licencie l’fantaisiste vers “faute grave”

Accusé de “déloyauté répétée” à l’appréhension de Radio France, Guillaume Meurice a été licencié vers maladresse buriné par la Afrique notoire. L’humoriste avait réitéré à l’secours en avril une ruse sur Benjamin Netanyahu qui avait déjà catastrophe altercation en octobre jeune. La badinerie lui avait valu des accusations d’antisémitisme et une éreintement alignée hormis continuité.

Publié le :

3 mn

Publicité

L’humoriste de France Inter Guillaume Meurice a été creusé “pour faute grave” par Radio France ensuite capital réitéré sa ruse controversée sur le Premier accrédité sabra Benjamin Netanyahu, a-t-il annoncé mardi 11 juin à l’AFP.

La Afrique notoire lui a annoncé par diligence la “rupture anticipée de (son) contrat pour faute grave”, a-t-il justifié puis qu’il réalisait cloué depuis survenance mai. C’est la “fin d’un faux suspense”, a-t-il estimé.

“Cette décision, je l’ai prise pour déloyauté répétée à l’égard de l’entreprise”, a justifié la présidente de Radio France, Sibyle Veil, là-dedans un muraille commissionnaire au égocentrique.

“Ni la liberté d’expression, ni l’humour, n’ont jamais été menacés à Radio France”, a-t-elle posé, reprochant à Guillaume Meurice d’capital “envenimé la polémique des mois durant”.

L’humoriste avait eu le 16 mai un jonction préexistant à un acceptable congé revers les fonds humaines de Radio France. Il réalisait passé en certificat de discipline le 30 mai auparavant la résolution annoncée mardi.

Une éreintement alignée hormis continuité

Figure de l’édit “Le grand dimanche soir” conduite par Charline Vanhoenacker, Guillaume Meurice avait été retiré de l’secours le 2 mai, quatre jours ensuite capital réitéré ses adresse polémiques sur Benjamin Netanyahu, prononcés une ouverture coup à l’secours fin octobre.

Il avait comparé le Premier accrédité sabra à une “sorte de nazi mais sans prépuce”, ce qui lui avait valu des accusations d’antisémitisme et une éreintement, en définitive alignée hormis continuité.

Ces adresse avaient comme valu à Radio France une costume en gardiennage de l’Arcom, le médiateur de l’audiovisuel.

“En réitérant finalement ses propos à l’antenne en avril, Guillaume Meurice a ignoré l’avertissement qu’il avait reçu, la mise en garde de l’Arcom et détourné la décision du procureur” de classifier la éreintement hormis continuité, a cornu Sibyle Veil.

À deviner commeAffaire Guillaume Meurice : jusqu’où peut-on exposer par imagination ?

“Il ne nous a pas laissé d’autre choix que de tirer les conséquences de son obstination et de sa déloyauté répétée”, a-t-elle jugé.

Dans la enjambée de cette averti, un distinct fantaisiste du “Grand dimanche soir” de France inter, Aymeric Lompret, a annoncé qu’il quittait l’édit en bande de étai à son associé. “Plus Guillaume = plus Aymeric”, a-t-il hiéroglyphe sur le lacis communautaire X.

“Première mesure du Front populaire : la réintégration de Guillaume Meurice à France Inter”, a vers sa acte posé le commissionnaire indiscipliné François Ruffin sur X, en certificat au assortiment estimé par la bâbord vers les législatives.


La souhait de Guillaume Meurice avait bravé une plage à France Inter le dimanche 12 mai.

Fin mai, les syndicats de Radio France et la relation de France Inter avaient demandé à à eux auspice de quitter “à une décision de licenciement” de l’fantaisiste, estimant que ceci “créerait un précédent grave” vers “la liberté d’expression”.

Avec AFP

Comments are closed.