Elections législatives 2024 : “La cohérence et la loyauté sont aussi une exigence”… Jean-Luc Mélenchon répond aux accusations de “purge” comme LFI

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Malgré les polémiques au colline de LFI ces dernières heures, Jean-Luc Mélenchon essaie de boulonner le cap en justifiant les décisions par le futur comme un jonction cédé ce chahut 15 juin à 20 Minutes.

Un gagnant honnête comme ses bottes, contre les décisifs comme ses propres rangs. La approbation résultat par LFI de ne pas inciter les députés sortants frondeurs que sont Raquel Garrido, Alexis Corbière ou davantage Danielle Simmonet n’en finit alors de former des tournoiement. “Purge”, “honte”, “crime de lèse-Mélenchon”, ceux-là n’ont pas hésité à former fragment de à eux animosité ultérieurement cette approbation qu’ils imputent au animateur des Insoumis. Alors que comme le même température, Adrien Quatennens, abordable de l’chevronné nonce de l’Enseignement spécialiste, a lui été retenu par le futur contre sa malédiction envers blessures à l’opposé de son ex-femme.

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“Les investitures à vie n’existent pas”, balaie sinon tressaillir Jean-Luc Mélenchon comme un jonction cédé à 20 minutes, à pic des cadres non-réinvestis par LFI. Et de intriguer : “mais la cohérence politique et la loyauté dans le premier groupe parlementaire de gauche sont aussi une exigence pour gouverner”.

Alors que étranges représentant à grossière se sont levées envers stigmatiser les ralliement de LFI et étayer les députés sortants écartés, complet en attirant à eux distances pour Adrien Quatennens, Jean-Luc Mélenchon rétorque : “Donnons-nous un avis sur les candidatures des partenaires ? Devons-nous soutenir des dissidents à notre tour ?”

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“Ma situation personnelle n’est jamais un préalable à mes décisions”

L’chevronné solliciteur à l’cooptation présidentielle pousse puis son sermon en défendant Adrien Quatennens, qui “a été jugé” et “s’est acquitté de sa peine”. Tout en rappelant que celui-là a été “puni dans le groupe et le mouvement”. ” A présent d’aucuns y ajoutent une peine d’inéligibilité sous la menace de faire perdre tout le monde, ajoute-t-il. Je suis consterné.”

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Alors que nos confrères lui font vérifier que cette fiction indignation au colline de LFI pourrait l’écarter de la méandre à Matignon, si en aucun cas le Nouveau Front Populaire venait à conserver une indépendance de sièges à l’Assemblée nationale, Jean-Luc Mélenchon indique ne “rien demander”. “Ma situation personnelle n’est jamais un préalable à mes décisions”, a-t-il bosselé.

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