Plusieurs villes d’Occitanie se sont mobilisées ce chahut 15 juin comme la degré de l’insupportable droit. Foix ne évènement pas étrangeté. Plus d’un millier d’Ariégeois ont manifesté moyennant dire à eux inquiétude et à eux prévision de percevoir les maîtrises humanistes de la rustre défaire moyennant les prochaines élections.
L’Ariège a généralement été un coin de Gauche. Sauf que les électeurs locaux des dernières élections européennes ont placé la catalogue Rassemblement individu (RN) pratique par Jordan Bardella en mine (35,51 %) précédemment celle-ci du Parti socialiste – Place Publique de Raphaël Glucksmann (17,42 %). Des scores jugés inquiétants moyennant les syndicats ariégeois de la CGT, la CFDT, l’UNSA, la FSU et Solidaires. En encyclique, ils ont guidé cohérence une cortège, à Foix, moyennant tasser(se) facette à l’insupportable droit. L’intersyndicale milite moyennant une sollicitation d’combinaison des partis de correction.
Le foule incarnait combiné à 10 h 30 aux allées de Villote où une privée acheté de aphorisme a eu pièce. La délégué de l’intersyndicale a frêle un allocution sur “les exigences sociales qui doivent être entendues”.
Le cérémonial a ultérieurement supposé la protection du Cours Gabriel Fauré ci-devant de tasser(se) un altesse fréquence des allées en circulant par le passerelle rafraîchi. Ils accomplissaient mieux d’un millier de manifestants, 2 500 moyennant les syndicats à parcourir le placage fuxéen. Si les syndicalistes ont répondu bienfait, une charmante bariolage de aide est à buriner. Drapeaux et diverses enseignes accomplissaient de échappement.
Parmi eux, un pancarte se démarque envers son graffiti : “L’amour est-il toujours plus grand que la haine ?”, frêle par une éducatrice contractuelle. “Il faut faire face à l’obscurantisme et aux idées nauséabondes du RN. Je ne veux pas assister au déclin et au chaos du pays, assène-t-elle.” Comme lui-même, la majorité des manifestants appellent à plébisciter car les corrects des femmes, de la législation sociale, du température et d’dissemblables sont en perdition d’postérieurement les messages des hétérogènes placards.
“J’ai peur pour l’avenir”
Une inquiétude que partition un adolescent Ariégeois qui tenait à participer bienfait. “J’ai été sidéré et inquiet des résultats des Européennes et de la dissolution de l’Assemblée. De plus en plus de discours dans les médias diabolisent le socialisme et normalisent le RN. Je suis là pour dire qu’il existe des solutions pour voter car certaines personnes n’ont pas forcément conscience de cela.”
Dans le cérémonial, qui a supposé la protection du foyer extraordinaire moyennant accoster la exercice Saint-Volusien, se trouvent équitablement des personnalités qui ne peuvent pas plébisciter cependant qui ont passion de tasser(se) comprendre à eux vote. “Je suis espagnol et je vis et cotise en France depuis 10 ans, explique le père de famille vena avec sa femme et son enfant. Je me suis senti obligé de faire quelque chose. J’ai peur pour l’avenir de mon fils, des personnes âgées, de l’éducation et de la démocratie.”
À la fin de ce foule qui a été le mieux appréciable à Foix depuis la discussion de la contravention des retraites, Jeanine Monge, journaliste territoriale UTI Ariège de la CFDT dresse un audit contrasté. “On était nombreux même si je souhaitais voir davantage de monde. Cela fait plaisir de voir des jeunes mais on ne se rend pas suffisamment compte que la démocratie est en danger.”
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