Près de 1 500 monde unies quant à le Rassemblement National à Béziers

“Tous unis contre Jordan Bardella et le RN !” Voilà le mot d’billet donné lorsque de la naissance qui s’est panache à Béziers, ce chahut 15 juin incessamment. Partant de la Bourse du corvée, le cour qui réunissait les autres partis politiques de lourdaud (LFI, PS, PCF, NPA), les Verts, les syndicats (CGT, FO, Snes, Unsa, CFDT, FSU territoriale, Union syndicale Solidaires), la LDH, a descendu les allées Paul-Riquet afin parachever son progression subséquemment le épicentre vendeur du Polygone.

La naissance qui a coalisé “près de 1 500 personnes”, accompagnant les manifestants s’est déroulée comme une contexte festive et bon descendant. “On vient manifester contre l’extrême droite en particulier, c’est nécessaire pour la jeunesse. On est aussi contre la candidature de Robert Ménard aux Législatives”, a illustré Wissal, 22 ans, la dirigeante de enclos de Magali Crozier et excitatrice des jeunes têtu.

Du cime de la fourgonnette qui menait le cour, l’on entendait : “Contre le blocage du prix de l’énergie, contre la haine, pour le service public, pour faire front populaire, le progrès social passe par la lutte”. Sur les placards brandies par les manifestants, on pouvait dilapider : “Le RN vote contre vous et pour la haine”, “La Bardellisation, c’est lui”, “Eh les fachos, vous aimez les traditions ? Puis l’image d’une guillotine. Nous aussi“.

Des slogans trop offensifs

Sur la prolixe oriflamme des élémentaires de file, on pouvait dilapider “Marchons pour nos libertés, contre les idées d’extrême droite“. La naissance s’est totale puis les panégyrique des représentants syndicaux et des partis politiques. “Nous avons fait reculer l’abstention ouvrière dans les quartiers populaires et dans la jeunesse. Le million de voix supplémentaires entre 2019 et 2024 doit s’amplifier, transformons cette force militante pour obtenir la victoire le 30 juin prochain”, a accentué Magali Crozier.

Et de persécuter : “À Béziers, voter Ménard et le RN, c’est voter Macron en pire. Madame Ménard a soutenu une politique de régression sociale, de détournement de la laïcité au nom du choc des civilisations (…). Elle n’a jamais voté aucune motion de censure des gouvernements Borne et Attal, encore moins celle qui appuyait le retrait de la réforme des retraites à 64 ans. Bardella comme Ménard aggravent la politique antisociale de Macron”. Lors de la naissance, l’rebelle a annoncé qu’miss est candidate aux Législatives.

“Réunis pour dénoncer l’imposture sociale de l’extrême droite”

“À Béziers, le 23 avril, nous étions réunis avec les organisations syndicales pour dénoncer l’imposture sociale de l’extrême droite. Nous avions déjà un coup d’avance. Non, le CNR n’est pas le conseil national de la refondation de Macron mais le conseil national de la Résistance. Macron a ouvert les portes du pouvoir à la famille Le Pen en choisissant la dissolution. Cette manipulation des institutions pour son seul profit politique est inacceptable, s’est insurgé Julien Rader, secrétaire général de l’Union locale de la CGT de Béziers. On ne peut pas essayer des gens qui sont aussi dangereux !”

Un peu mieux ailleurs, Christophe Coquemont, serpentaire communautaire du clique socialiste espère activer sur des points concrets toilettes au Front Populaire et fronton à une honnête “en puzzle”.