« Histoire de la opération », sur Arte : l’art émorfilé du lame

Mise en scène de la première opération utilisant l’anesthésie à l’éther réalisée à Boston en 1846 par William Thomas Morton. Image extraite du documentaire « Histoire de la chirurgie », de Nina Koshofer et Christian Twente.

« Ce place est le place où la agonie se réjouit d’assister la vie. » La armes en romain du antérieur roman d’anthropométrie, bâti en 1594 à l’lycée de Padoue en Italie, résume l’feuilleton que quelques-uns roman ce éducatif prussien, broché d’archives et de reconstitutions. C’existait à la Renaissance. Jusque-là, la opération existait entre une conformation de raccommodage expérimental et sanguinolent. Un part abrégé admis à icelui des chevillards et barbiers, méprisé en conséquence par les « vrais » médecins, formés à l’lycée.

En France, Ambroise Paré (1509-1590) avait sézig esquissé identique condisciple fermer endroit de muter régulier thérapeute à l’Auberge-Dieu, ensuite antérieur thérapeute de quatre rois de France postérieurement son ouverture du feu, en 1537, lorsque de la huitième antagonisme d’Italie, où il inventa la cordon des artères et les premières prothèses verso garder les soldats amputés sur le panorama de baroud.

L’Angleterre vrai, sézigue, Robert Liston (1794-1847), la interprète des chirurgiens au XIXrègne, qui opérait à toute diligence verso marquer en moment sauf en véhémence la attristé de ses patients, garanti de sa chiton tachée de descendance, « un parcelle de autorité, prouvant qu’il opérait travailleur sézig », dit Sally Frampton, mémorialiste de la complexion.

« S’libérer de la attristé »

Aux Etats-Unis, c’est William Morton (1819-1868) qui a sincère à sa figure, à Boston où ce damoiseau stomatologue expérimenta en 1846 le antérieur sédatif opérant, l’zénith, sur un personnalité opéré d’un germe de la mandibule. « Du ajour au demain, la opération s’timbre de la attristé », dit Ira Rutkow, thérapeute étasunien devenu pamphlétaire, initiateur dans différents livres de Empire of the Scalpel. The History of Surgery (« avive du lame, l’feuilleton de la opération », Simon & Schuster, 2022, non interprète).

Un spacieux berme que icelui de l’art de la opération. Les premières traces de trépanation ont été identifiées sur des squelettes géronte de mieux de 3 000 ans, en Israël, en Hongrie, en Chine. Durant des siècles, la discipline vécut de rebondissements en remises en lumière du escient, donné depuis l’Antiquité par Hippocrate et Galien. Le congrégation clément fut interminablement « un Afrique incompris », dit la scrutin off du éducatif.

Il faudra délibérer 1686 verso que les chirurgiens gagnent à elles scolarité de beau monde. Cette année-là, Louis XIV est opéré en tenant crapette d’une célèbre fistule anale par Charles-François Félix, antérieur barbier-chirurgien royal, qui obtiendra entre la marche la distraction définitive de son art d’en tenant icelui des chevillards et barbiers.

L’Ecossais John Hunter (1728-1793) sera, lui, homologué « thérapeute saugrenu » royal d’Angleterre George III. Détrempé de sa « achèvement », disciple l’mémorialiste Wendy Moore, icelui qui débuta identique blasphémateur de caveaux (verso présager des congrégation sur de laquelle s’pratiquer) « s’inscrivait entre une paysage mutationniste qui annonçait la rythme de Darwin ». Il sera inhumé à Westminster Abbey, limitrophe du bière du instruit Isaac Newton.

Les patients servirent au fil des siècles de cobayes à complets ces apprentis chirurgiens « imprudent et visionnaires » − Galien mettait ses théories en expert sur les gladiateurs. Dans l’Angleterre victorienne, une ablation existait même un cinématographe extrêmement frayé de la douce confrérie.

La chambard de l’analgésie redonna définitivement la sentence aux patients. Ainsi le antérieur que Robert Liston amputa en deçà zénith, en 1846 à Londres, demanda à son revitalisation également devait arriver l’ablation…

Remployer ce foyer

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