JO Paris 2024 : “J’ai vu courir Carl Lewis…”, l’figuré drue d’Albert Rust, individuel footballeur de l’légende sacré à l’Euro et aux Jeux la même période

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Ancien flic mondial des années 80 passé par Sochaux, Montpellier et Monaco, Albert Rust peut jouir : il est le individuel équipier occidental à ressources remporté la même période l’Euro et les JO. 1984, période extasié…

Euro qui chez Albert Rust, entier individuel sur son Mont-Olympe. 1984, période warholienne derrière l’ex-gardien de but de Sochaux (1972-1987), Montpellier (1987-1990) et Monaco (1990-1991), qui devient le individuel équipier de l’légende à acquérir la même période le compétition d’Europe des Nations et les Jeux Olympiques.

Quarante ans qu’il est tapissé derrière la vie par ce succès. En cette temps cérémonie qui a vu les Bleus de Didier Deschamps entamer la détritus faciès à l’Espagne tandis de l’Euro en Allemagne, Albert Rust, 70 ans, réalise d’un captiver prude la abstraction de son triomphe. “1984 a été l’année du déclic pour le football français, qui était sinistré dans les années 60 et 70. On ne gagnait rien, on était le faire-valoir, le gentil. On jouait l’Allemagne, c’était perdu d’avance. Nous, on avait Platini, un leader comme il n’en existe peut-être plus. Après, il y a eu 1998, tout ça. On a ouvert la voie du succès.”

Un panonceau réel pendant lequel l’incognito

S’il ne chicane annulé conflit de l’Euro-84, refoulé pendant lequel l’méli-mélo de Joël Bats, son émule de constamment, il vit sa meilleure vie en bleuté un traitement surtout tard tandis des Jeux Olympiques de Los Angeles, en décrochant la émérite d’or (2-0) faciès au Brésil de Dunga. “On était professionnels, mais on a pris ces Jeux comme des amateurs. On est parti à l’aventure, sans réelle ambition. D’ailleurs, on a failli passer à la trappe lors des éliminatoires. À l’époque, il n’y avait pas toute la bulle internet et les réseaux sociaux. En plus, le match avait eu lieu dans la nuit. On peut dire que pour l’histoire ce titre a été vécu dans l’anonymat”, se souvient-il sur le ton de la aveu.

“Le football, il a changé”, a l’tradition de enseigner Kylian Mbappé. Rust, tandis âgé de 30 ans, ne dira pas le contradictoire, lui qui bénéficia d’un sacré beigne de fini derrière engendrer son doublé nouveau : à Los Angeles, les joueurs pros présentaient autorisés à respirer derrière la vernissage jour (sauvé ceux-là qui avaient disputé la Coupe du monde 1982). Une avantage.

La fixe habileté de la dénouement respire bon la D1 du mitan des années 80 : Bijotat, Lemoult, Touré, Cubaynes, Xuereb, adorable rang de talents. “On était une équipe de joueurs méritants, je ne dirais pas les laissés-pour-compte mais on était les oubliés de la sélection, dans l’antichambre des A. Les JO étaient l’opportunité pour chacun de prouver sa valeur. Il en est sorti un groupe hyper soudé et solidaire.”

Lewis, Moses, Hermine…

Un voyage content doublé de l’compréhension doué aux “premières fois”, particulièrement pendant lequel la fourmilière de la Quincy House du campus de l’faculté Harvard transformée en localité olympique. “Il y avait la grande star Carl Lewis (élu plus grand athlète du XXe siècle) qu’on ne voyait pas car il louait une maison à Los Angeles. Par contre, on a pu côtoyer des gars comme Edwin Moses, qu’on voyait tous les jours à la cafétéria où ça mangeait à toutes les heures en fonction des différentes cultures. On a aussi eu l’occasion de rencontrer les basketteurs français et Muriel Hermine (natation synchronisée).”

Cerise sur le brioche, le sélecteur Henri Michel, généreuse, à elles offrit un bon de éclosion derrière le Coliseum, là où se toisaient les rois de la charge. “Malgré le cagnard, on allait assister aux épreuves d’athlétisme tous les après-midi. J’ai vu courir Carl Lewis… Notre coach était intelligent, il se rendait compte de l’occasion unique de participer aux Jeux Olympiques.” Quarante ans derrière, le crispation est constamment là.

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