Législatives 2024 parmi les Hautes-Pyrénées, 2e région : Denis Fégné et Olivier Monteil débat

Désormais, la particularité est clairette : RN parce que NFP, parmi les double circonscriptions des Hautes-Pyrénées. Et alors Olivier Monteil frontispice à Denis Fégné, en dominant à l’limite du 1er flux, parmi la 2e région. “J’ai ressenti une énergie née du rassemblement de toute la gauche, et nous avons réuni 28 % des suffrages.”, a montré Denis Fégné. Ce qui est écarté des 37 % d’Olivier Monteil, exclusivement Denis Fégné modéré sur un renvoi de chant. “Surtout après le retrait de Benoît Mournet et Stéphanie Marquez, que je remercie.” Olivier Monteil a appelé, verso sa bouchée que le RN avait doublé son résultat en rapport et triplé ses chant en double ans… “C’est une vague populaire qui montre que le peuple veut tourner la page, et dire non à Macron et à l’extrême gauche menée par M. Mélenchon.” Le ton est donné…

Baisse des taxes ou accentuation des salaires ?

Sur la embarras du emprise d’obtention, Denis Fégné, interminablement mesuré, défend une accentuation des salaires, l’classification des retraites sur l’augmentation et la majoration du sujet d’confirmation des fonctionnaires, “le tout sur la base d’une grande concertation sociale” et sur la embarras du cherté de l’volonté, il remontrance une “accélération des travaux de rénovation énergétique”. Olivier Monteil a épelé les fiançailles du RN, comme radicales : “L’énergie et les carburants sont des éléments essentiels, nous baisserons la TVA à 5,5 %, ce sont des produits de première nécessité, et annulerons l’augmentation récente du gaz et prochaine de l’électricité”. Et simultanément on lui oppose le cherté verso les fonds de l’Compte, il assure que “tout notre programme est budgétisé, nous compenserons par une moindre contribution à l’Europe, et nous ferons des économies sur l’immigration, car elle a un coût.” Le mot est lâché… Pour Denis Fégné, “l’immigration est nécessaire à notre économie. Et on ne peut pas abandonner des familles, qui fuient un pays en guerre.” Sûr de ses arguments, Olivier Monteil a glissé : “L’Algérie ou l’Albanie ne sont pas en guerre, que je sache”. Ce qui n’a pas déstabilisé Denis Fégné : “Et comment on fait dans les secteurs du tourisme ou du BTP ?” Duplicata d’Olivier Monteil : “les 3/4 des demandeurs d’asile sont déboutés, mais restent sur le territoire en clandestins. Et ils sont pays une misère, c’est de l’esclavagisme. Il faut revaloriser ces métiers, on a aussi des talents et des vaillants en France. Et ça évitera les fraudes aux aides sociales et le trafic de drogue.” Terrain savonneux…

Nouvel antenne ou pas ?

Sur la volumineux embarras de la interjection, les double candidats admettent qu’il y a une manque de médecins. Mais les solutions disparate, surtout sur le nouveau antenne. “Oui, il faut un hôpital moderne et bien équipe,”, concède Olivier Monteil, “mais pourquoi ne pas moderniser les sites actuels ?” Le cherté commandant, éventuellement ? “La santé n’a pas de prix. Et nous mettrons en place des incitations fiscales pour attirer les médecins dans les zones dépourvues.” Denis Fégné est comme manifeste sur l’antenne farouche : “C’est un sujet complexe, le projet existe, depuis 20 ans, la concertation suit son cours. J’y suis favorable, sur le principe et même la situation, à condition de maintenir une activité sur les sites actuels.” Reste la embarras de la ruralité. “Le sentiment de déclassement n’est pas nouveau, mais il fait bon vivre à la campagne, où naissent de nombreux projets. C’est là que l’avenir se crée,” célébrité Denis Fégné, donc qu’Olivier Monteil fustige “l’écologie punitive, qui a engendré la ZAN, et le recul des services publics.” Et si entiers double pointent la malchance du monde foncier, Olivier Monteil milite verso “un juste prix des produits et l’arrêt des importations”, Denis Fégné est heureux au propagation des circuits courts et du bio. Opposition de styles et de illusion…

Symposium vulgarisé sur Radio Présence Lourdes ce vendredi à 17 heures.