Les ambitions du hand femelle à Montpellier portées par le baptême parmi le MHB et le HBF3M

L’notifié a majestueusement été faite jeudi déclin 4 juillet au FDI Stadium : le MHB, qui s’est accort au hand femelle relaxation il y a triade ans, équitable le association femelle du HBF3M pour l’impartial d’tenter abords le grand palier et le sérieux au femelle.

Cela catastrophe contradictoires mensualité que Céline Allègre, présidente du association de handball femelle HBF3M et Vincent Hugonnet, monarque de l’conformité du MHB travaillaient à s’lier ; le baptême a été acté ce jeudi déclin au corsage du FDI Stadium au aboutissement d’une AG domestique et étrange pour de changer les statuts, et d’une assemblée de foule vers en fournir les impartiaux : le agrandissement, généralement, et la attente du sérieux au femelle. “Aujourd’hui, le HBF3M intègre le Montpellier Handball pour une seule et même entité” s’est de la sorte transport le monarque de la SAS Julien Deljarry. “C’est pour nous le reflet de la continuité et de l’évolution du Montpellier Handball.”

Un plan multiplié par quatre

Le MHB “va ainsi prendre la gestion du HBF3M qui va s’appeler Montpellier Handball avec une section féminine de haut niveau qui va intégrer la MHB Academy explique son monarque, Vincent Hugonnet. Le but est de se donner des objectifs de haut niveau”, pour une avènement en D2 impartial d’ici une paire de saisons. Et un plan qui va sauter de 103 000 euros, le encore diminué de N1 à 450 000 pour le support des collectivités territoriales (50 000 euros de la Archiépiscopat, 100 000 euros de la Ville de Montpellier). “Nous avons déjà la MHB Academy sur les garçons et quand on a commencé à échanger avec Céline, on s’est aperçu que la symétrie entre les garçons et les filles existait, donc derrière, si on s’entendait sur un projet commun, cette intégration pourrait se faire avec la plus grande facilité, c’est ce qui a été le cas”. Une serment de la sorte d’garnir l’Academy de 65 jeunes à encore de 130. “Cela va nous amener un peu plus de savoir-faire, d’intégration de bénévoles dans le club, qui vont aussi nous permettre de grossir. C’était important d’avoir ce projet sur les 3 ou 4 prochaines années de structuration de notre Academy.”

“Fière du travail accompli”

Une prolongement dans lequel le espérance pour des maillots, des fanion du MHB malheureusement des matches qui continueront à se boursicoter à Spinosi à la sollicité des filles. “Quand on a créé l’entente, l’idée était de recentrer toutes les joueuses qui jouaient au handball sur la Métropole et leur permettre de jouer au plus haut niveau possible précise Céline Allègre. Notre système ne pouvait pas continuer, si on veut aller vers le haut niveau, il faut avoir des moyens, financiers et structurels ; le MHB nous propose d’intégrer l’Academy et pour toutes les jeunes filles, cela va leur offrir des possibilités qu’aucun club aujourd’hui propose aux jeunes filles. Je suis très fière du travail accompli avec Vincent pour permettre à nos jeunes filles de faire une vraie carrière de joueuses au sein de Montpellier”.

Un événement réputé vers Montpellier

Un période réputé a accéléré Christian Assaf, vice-président de la Archiépiscopat, en diagonale de son semblable de la Ville, Hervé Martin, “parce que rien de plus important ne s’est passé dans le sport montpelliérain que ce mariage depuis très longtemps ! Les clubs et les filles le méritent…” De rapatriement à Bougnol pour sa chapeau de gérer endroit, accrédité la présidente de la Paroisse Occitanie Carole Delga et son vice-président Kamel Chibli, Patrice Canayer de même s’est transport d’une analogue rattachement. “Le sport, l’association sportive, sur un territoire, doit être un endroit qui reflète la société où on exclut tout sectarisme, tout communautarisme, et on fait œuvre de vie en société, ensemble ; cela semblait donc incongru à notre époque d’avoir des clubs uniquement masculin et féminin. Le sport doit avoir cette qualité de rassembler, exemple de ce que doit être la vie en société et ce mariage en est un.” Pointant un enjeu vers son destinée. Le défi le plus important que vous avez à relever, le défi du sport féminin, ce n’est pas le haut niveau mais d’arriver à devenir professionnel dans le sport de haut niveau. Pas un professionnalisme ou on va se tourner vers les collectivités en disant qu’il faut payer pour le sport féminin. Il faut que le sport féminin arrive à créer son modèle de professionnalisme et c’est pour ça que je suis très heureux que cela se fasse à Montpellier parce que le club du MHB a toujours su être innovant. L’attente de ce qui va se passer, c’est que vous arriviez à faire la démonstration qu’il existe une voie pour le professionnalisme de haut niveau au féminin”.

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