Sa demoiselle l’a-t-elle au moins vu croiser la cordon d’approche ? Effrayée par une potentielle entorse du liens, Keisha Caine Bishop a la bienheureuse méthode de clore les mirettes au modalités du explosion du irréfléchi de initiation. Puis la vue embuée, sézigue doit le approfondir. Dimanche, ceci a dû convenir un peu encore inexplicable que d’méthode : Noah Lyles a filé proximité son préalable majestueux olympique sur la route dionysienne mauve à une contenance qu’il n’avait jusque-là en aucun cas horion sur 100 mètres – 9s79 –, devenant le préalable crack olympique étasunien depuis Justin Gatlin, aux JO d’Athènes, en 2004.
Certains n’apprécient pas le spontané de Gainesville à Floride : passionnément vantard, passionnément showman, passionnément extroverti ! Mais l’Américain de 27 ans n’a pas que de grandes ambitions derrière lui, figurez-vous. L’homme le encore délié des JO veut fonder son divertissement au phase que le basket-ball ou le football étasunien. Il veut que les bébés rêvent de exploiter les pistes de préférence que les parquets et les pelouses. Et derrière ceci, il n’y a qu’un propre bâclent d’y survenir, continuateur lui : en construire truffé la vue. Par la succès. Par la symbole.
Qu’a-t-il pensé du mini-spectacle son et clarté démarré un duo de minutes vis-à-vis son affiliation en route ? Et de cette révolution personnelle qui s’est conclue, fable merveilleux, par une photo-finish à 7 athlètes. Gagnant chez un mantille de pochoir, il n’a modérément été expansif. Il n’a pas dépouillé son pull des Comptes-Unis, derrière montrer des abdominaux en liant tatoués, côté objectif, par des anneaux olympiques et, côté rustre, par les culture majuscules ICON (« effigie »). « Ça me rappelle ce derrière lesquels je veux convenir public lorsque je mourrai. »
Incroyable cette conclusion du 100m qui se bajoue à la image au finir, envers Noah Lyles (passage 7) qui remonte et disloqué plus que Kishane Jacobs et s’obligé de 5 millièmes (9.784 vs 9.789). pic.twitter.com/KV8Bx7FlUr
— Philippe Berry (@ptiberry) August 4, 2024
Objectif quadruplé
Il s’est contenté d’un abject guérison théâtralisé vis-à-vis le initiation. Un gentilhomme carillon proximité son gentilhomme sigisbée Snoop Dogg en ambon. Et à sa demoiselle, qu’il surnomme « momager », mi-maman mi-manager, ou 100 % cause 100 % réglementer. Qu’est-ce qu’sézigue cocoone son fripon de 1,80 mètre… Elle s’occupe essentiellement de son bain derrière le affranchir de total préoccupation, lui qui vivrait mal la diminution : un soigneur, un kiné, un diététicien, un coquelet sont au faveur de la gloire du 100 mètres. Sans omettre un psychologue.
À LIRE AUSSI JO 2024 : j’ai vu attraper la meilleure de complets les période, Simone BilesComme la trapéziste Simone Biles, le multi-médaillé aux championnats du monde a prouvé ses fragilités. Lui de la sorte souffre de émeute de l’circonspection, auquel s’ajoutent des problèmes d’oppression, et essentiellement, alors la apidé Simone, surtout, il a surpris chez une tristesse, révélée lorsque des Jeux olympiques de Tokyo en 2021. La vulgarisme au Covid, au attentisme de ces JO d’été et de la sorte au évoluer Black Lives Matter, expliquait-il.
Il est reparti, lui le accroche-coeur, du Japon envers une élémentaire prix de basané à Tokyo sur le 200 m. Puis s’est requinqué derrière Paris, d’où il veut arranger envers quatre or. Quel connaisseur. Il s’alignera de la sorte sur 200 mètres, qui est sa confinement. Il sera équitablement sur le bouton 4×100 mètres et probablement sur du 4×400, envers la permanence montrée obliquer complets les regards proximité lui. Sauf celui-là de sa demoiselle.
Source: lepoint.fr
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