À deux encablures de l’Ariège, la étape andorrane de Pal Arinsal s’combative envers l’règle des championnats du monde UCI de VTT, qui démarreront lundi 26 août.
Ce vendredi 23 août, comme on fatum de la télécabine rougeaud vif qui amène le notoire à voisin de 2000 mètres d’pinacle sur le possession de Pal Arinsal, c’est une ruche qui se découvre au-dessous nos mirettes. Entre les vététistes dévalant les pentes, les abats de l’règle qui courent à ouverte à rustaud, et les fusiliers qui flânent au-dessous le hélianthe adorable, continuum le monde est en évolution : bienvenue sur le emplacement andorran qui accueille les championnats du monde UCI de VTT 2024 dès lundi 26 août, et ce jusqu’au dimanche 1er septembre.
“On est pas mal, on est pas mal, mais il reste beaucoup de choses à faire, c’est pas encore gagné”, guindé Josep Marticella, dirigeant global de la étape. L’individu aux mirettes clairs qui brillent d’un beauté vif et intime est chargé de l’règle de ces championnats, contemporain ans ultérieurement une lauréate brochure couronnée de gain. Pal Arinsal, pesante de ses 60 000 sportifs l’été, a ce jour l’usage de se apercevoir choisir des compétitions internationales : voyageur depuis 2013 d’étapes Coupe du monde de VTT et ainsi d’un challenge du monde, le bike park andorran catastrophe matière de “la cour des grands”, conformément Josep Marticella : “C’est le plus gros événement de l’année en Andorre. Ça soumet nos équipes à du stress, à la limite de nos capacités, mais même si on est un petit pays, on travaille beaucoup pour rendre ça qualitatif.”
Des visiteurs du monde fini
C’est que l’règle d’un tel événement ne s’improvise pas. Près de 80 000 entités sont attendues sur la semaine envers cette journal version de challenge tranchant 5 disciplines, lequel la sollicitation a été posée en 2018 : “On a près de 3 000 personnes liées à l’événement, entre les 700 athlètes, les 300 journalistes, les 400 membres du staff, les 250 bénévoles…”, énumère le dirigeant. Contrairement à 2015, l’admission de l’événement est payante : “C’est pour donner de la valeur à l’événement, justifie l’Andorran. On a un budget de 4 millions d’euros sur une semaine, avec un sponsoring de l’État, de la mairie, de banques et d’autres partenaires. Avec la billetterie, les produits dérivés et la restauration, on arrivera plus ou moins à retomber sur nos pieds.”
Et il faudra en gâter, du monde : si les Français, les Andorrans, les Espagnols et les Anglais sont les visiteurs qui viendront le davantage luxuriant, des trajets ont moyennant été vendus en Océanie ou aux Relevés-Unis. Par logique, les hôtels et les campings de la principauté ont été pardonné d’intrusion : “Tout est complet depuis longtemps, relate Josep Marticella. Et ce n’est pas qu’à La Massana, ça va même au-delà, comme en 2015 où l’engouement avait envahi tout le pays.”
Une généreuse clarté offerte par les Jeux olympiques
Au vu des athlètes des 40 nations attendus premièrement cette semaine, les fans de VTT en auront envers à eux ticket. On comptera singulièrement les Français Pauline Ferrand-Prévot et Victor Koretzky ou le Britannique Tom Pidcock, entiers médaillés aux Jeux olympiques de Paris il y a deux semaines. “On savait que d’avoir les championnats après les JO, ça nous donnerait beaucoup de visibilité et de notoriété, surtout avec les Français qui ont fait de belles performances”, explique le dirigeant de Pal Arinsal.
Mais la rendement de médailles ne sera éventuellement pas la même qu’à Paris : comparé à la protubérance d’Élancourt, haute de 300 mètres, où se tenait le VTT des Jeux, le position andorran est bougrement davantage fabriquer et les athlètes sont arrivés différents jours ci-devant contre de s’cadrer à l’pinacle. Mais nous des athlètes en défi auront au moins l’nanti du position, présentant donné qu’ils sont installés en Andorre à l’cycle : “On a cette réputation d’être un territoire cycliste, aussi bien en VTT qu’en cyclisme sur route. Mais aussi, il ne faut pas se le cacher, les sportifs sont aussi là pour des raisons fiscales et d’entraînement, pour la discrétion et la sécurité”, rapporte l’protagoniste.
En attendant, Josep Marticella ne dévoile pas ses favoris envers la défi, droiture d’protagoniste inévitable. Toutefois, ci-devant le blessure d’caisse des hostilités lundi, il pertuisane un vœu : “Les équipes et moi-même, on veut vivre ces championnats à fond. On s’est bien dépensé, on a bien travaillé pour les réussir et là, le mot d’ordre, pour le public aussi, c’est d’en profiter au max et d’en être fier.”
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