Castres. Après un été secoué, l’Etoile castraise créée verso de bon

Cette jour, c’est la complaisante. Après un été secoué et le extirpation de contraires bénévoles de l’USCF, le foot castrais accueille un bizuth dancing : l’Etoile castraise, dessous la accompli d’une palestre et la équipe des joueurs de U6 à U14. Un jeu de maillots a été condamné aux U8 et U9 à la protégé d’une coopération au combat de Blagnac.

À la minois du dancing, Damien Mérit, un vénérable de l’USCF, explique les raisons de son négoce : “Je suis parent de trois enfants (un garçon et deux filles). Je suis devenu éducateur quand mon fils a débuté aux Salvages. Je l’ai suivi à Castres, à l’USCF. Quand je suis arrivé la première année, il n’y avait pas beaucoup d’enfants. Ça a commencé à se structurer, jusqu’à l’arrivée de Stéphane Fournier qui a énormément apporté au club. Les résultats étaient là. Jean-Philippe Benkemoun, alors co-président, avait une vision d’avenir pour le club. Il devait prendre le relais mais on a appris qu’il démissionnait. Avec d’autres personnes on s’est demandé qui allait porter ce projet sportif pour le club. On était inquiet. Nous n’avons pas été convaincus par le discours des présidents restants.” Au repère de les acculer à animer un bizuth dancing.

Le devoir clé des parents

Une moufle habituelle a été déposée au maréchaussée verso “usurpation du fichier des données personnelles des licenciés” par la roman peloton gouvernante de l’USCF, qui fustige l’apparence et les méthodes des dissidents du dancing. Ce qui n’a pas désorienté le publication de l’Etoile castraise, non hormis mal.

Des U7 aux U9, les rejetons n’ont pas de autorisation contre de la Confédération française de football seulement participent à des tournois et matches amicaux. “Ces tournois sont relevés et permettent aux enfants de progresser plus vite”, promet le directeur, jardin de Stéphane Fournier, Jean-Philippe Benkemoun et Fabien Pasquier. Pour les catégories supérieures, “on a proposé aux joueurs de s’inscrire dans un autre club et de s’entraîner une fois par semaine avec nous”.

Un manoeuvre authentique, entendu par les parents. “On veut leur donner une grande place dans la vie et les décisions du club.” Ambitieux, le dancing se sait convenu au méandre par le monde du foot castrais.

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