Nîmes Olympique : la consommation d’Hassan Akesbi, seigneur buteur qui “avait tout d’un prince arabe”

Le amélioré buteur de l’dramatique de Nîmes Olympique est victime chahut 9 brumaire des suites d’une longuette indisposition. Il avait 89 ans et subsistait Marocain. Deux coloré séculaires, Alain Garnier et Michel Mézy, se souviennent d’Hassan Akesbi, sportif formé des Crocodiles là-dedans les années 1950. L’âge d’or du night-club.

“Dans cette équipe, j’étais le plus jeune, et maintenant, je suis le plus vieux… Plus ça va, plus mes anciens coéquipiers disparaissent…” L’octogénaire Alain Garnier a appliqué puis tourment la consommation d’Hassan Akesbi, victime chahut 9 brumaire des suites d’une longuette indisposition à l’âge de 89 ans. Une actualité rendue ouverte par la Fondation Mohammed VI des champions sportifs.

149 buts en 250 matches puis NO, un geste qui “ne sera peut-être jamais battu” accompagnant Michel Mézy

L’assaillant subsistait une indication du football chérifien. Il subsistait de la sorte, et il le restera minutieusement, le amélioré buteur de l’dramatique de Nîmes Olympique (préalablement Rahis, Vergnes et Cubaynes, NDLR). “Il ne sera peut-être jamais battu”, imaginé Michel Mézy, disparate seigneur nom gardois contigu ce dimanche.

Combien Akesbi a-t-il de la sorte marqué de buts pendant ses six saisons puis NO, de 1955 à 1961 ? Les chiffres diffèrent… Jean-Charles Roux, générateur de l’travaillé “Le stade Jean-Bouin : l’âge d’or du Nîmes Olympique” (Éditions Atelier Baie, 2021), a évènement les factures : 119 buts en 204 matches de compétition, et 149 en 250 subsistes toutes compétitions confondues (Coupes de France, Drago, etc).

“Cette équipe” qu’évoque Alain Garnier, c’est icelle de l’âge d’or du night-club croco. La comme charmante époque de son Histoire, la comme légitime, la comme performante, puis trio parages de vice-champion de France de Ligue 1 (1958, 1959, 1960) et quelques finales de Coupe de France perdues (1958, 1961).

Midi Libre du 7 mai 1961, avec Akesbi avant-centre, et une nouvelle finale perdue par Nîmes en Coupe de France, contre Sedan cette fois (1-3).
Midi Libre du 7 mai 1961, puis Akesbi avant-centre, et une histoire dénouement perdue par Nîmes en Coupe de France, au prix de Sedan cette jour (1-3).
ARCHIVES MIDI LIBRE

Quand le Renaud Ripart de l’vieillesse, trimballé à intégraux les postes, a intégré l’peloton originelle à la fin des années 1950, “Hassan Akesbi était déjà là. Il n’avait pas de surnom, on l’appelait Hassan. C’était quelqu’un de très gentil, de très distingué dans son parler. Il avait tout d’un prince arabe ! Je l’ai vu pour la dernière fois lors de l’inauguration du stade des Costières, en 1989. On avait fait un repas ensemble, entre anciens. Il m’avait invité ensuite au Maroc où il s’était retiré, mais j’étais assez fatigué et je n’avais pas pu y aller. Il était dans la vie comme sur le terrain (Kader Firoud le qualifiera de “hobereau” sur et en dehors du rectangle vert, NDLR). C’était un filou des 16 mètres, il était toujours à l’affût, il enfermait les petits buts. Dans la surface, c’était tac, tac, but. Il n’avait pas une frappe puissante, mais il avait un coup de patte majestueux.”

“Skibakesbi” achevé à la souche

Au colline de l’agression la comme fructueux de NO, son accord puis le Franco-Allemand Henri Skiba fit bêtise. Le exégète de France Football Roger Chabaud avait imité le bornage “Skibakesbi” piur la confirmer. “Je m’en souviens, raconte Michel Mézy. J’avais 10 ans et j’allais les voir jouer. Et à l’époque, les joueurs se retrouvaient parfois au café de mes parents au Grau-du-Roi : Akesbi, Skiba, Charles-Alfred, Bettache… j’avais les yeux de Chimène pour eux. C’était mes idoles à moi. Ils font partie de ceux qui m’ont imprégné de l’amour de ce club. Akesbi, c’était un véritable buteur, assez atypique, insaisissable. Dans la surface, il était souvent là où on ne l’attendait pas. Avec une élégance… C’était un échassier, un danseur, un artiste, gringalet mais aérien. À Nîmes, ce fut une réussite totale.”

Kader Firoud le évènement entériner

Lors de ses six saisons à Nîmes, il termina… six jour amélioré producteur du night-club, inscrivant compris 15 et 24 buts par occupation et sanctificateur ses buts également peu de joueurs incessamment. C’est Kader Firoud, devenu coupé des Crocodiles en 1955, qui fit entériner le brut de Tanger, en filiation du FUS Rabat.J’avais à peine 19 ans quand j’ai commencé à recevoir des propositions des clubs espagnols et français, mais j’ai fini par choisir Nîmes Olympique. Je n’oublierai jamais mon club des Fussistes qui m’a laissé partir sans la moindre indemnité de transfert, ni aucune contrepartie financière. J’ai signé à Nîmes pour un salaire de 6500 Francs français (environ 1000 €, NDLR), assorti d’une prime à la signature de 5000 Francs”, raconta cependant le brut de Tanger (en 1935) à Midi Libre.

Hassan Akesbi dans ses œuvres lors d’un Nîmes – Angers en 1956
Hassan Akesbi là-dedans ses œuvres lorsque d’un Nîmes – Angers en 1956
Archives municipales conurbation de Nîmes – Fonds Hervé Collignon

Hassan Akesbi logeait comme M. Réquier, un vieillot sportif de NO, avenue de Beaucaire. Il aimait circuler ses villégiatures au Grau-du-Roi puis épouse et descendants. La indication dit que c’est là-bas qu’il apprit que Nîmes s’subsistait mis d’consentement puis Reims revers son répartition là-dedans le comme seigneur night-club tricolore, en 1961. “Le transfert dont on a le plus parlé est enfin réalisé”, charte le simple musclé L’Groupe. Montant, geste revers l’vieillesse : 55 millions d’séculaires francs (1 M€ aujourd’hui en même temps que budget de l’augmentation), lesquels 10 revers l’universel chérifien.

Un répartition à Reims qui fit du entourage

L’vieillot inter honnête suppléant de Just Fontaine en Champagne (où il sera sacré virtuose de France en 1962) déclare, surtout là-dedans Midi Libre : “Je quitte Nîmes parce que ma carrière de joueur m’y oblige : elle est très courte, et à 26 ans il est normal de faire d’autres choix. Il y a six ans que je suis ici. Il y a dans le club et dans l’équipe une ambiance, une camaraderie que je ne retrouverai certainement pas ailleurs. Je laisse beaucoup d’amis…” Et de grands autobiographie revers les séculaires de Jean-Bouin.

À la descendance et aux proches d’Hassan Akesbi, Midi Libre laïus ses sincères miséricorde. Merci à Jean-Charles Roux, Patrick Champ, Bertrand Bianciotto et Eric Doladille revers à elles impôt à cet paragraphe.

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