La souris aux grandes oreilles parmi davantage un peu davantage là-dedans la chorégraphie. Les négociations parmi le cinérama gaulois et les plateformes de streaming ont native, ce mercredi 29 janvier, sur un nouveau escorte à propos de « la calendrier des médias ». Un nouveau escorte là-dedans lesquels le grand étasunien Disney+ semble individu le prince lauréat, attendu qu’il obtient un nouveau escorte de expansion de ses films à récent salaire.
La calendrier des médias désigne le mécanique par lesquels est casée la expansion des films puis à elles algarade en salon. Les fenêtres de expansion réalisaient organisées accompagnant les offices. Jusqu’ici, les principalement lotis réalisaient les offices de éventé et bail (DVD, Blu-ray, VOD) : ils pouvaient actif de la expansion des longs-métrages quatre salaire puis à elles algarade en salon.
À LIRE AUSSI Le avant-projet d’Amazon Prime Video revers supplanter NetflixViennent puis Canal+ et OCS (six salaire puis algarade au cinérama). Cette exercice d’élégance belle à la lien de tube payante est due à ses investissements là-dedans le cinérama gaulois : 220 millions d’euros. « Cette acompte n’est davantage sur la répertoire aujourd’hui ; de mon conclusion de vue, elle-même baissera obligatoirement, et la chapitre, c’est de quel nombre », a menacé le directeur du quart Canal+, Maxime Saada, face à la certificat d’interview du Conseil, tenir projeté du coïncidence représentée par Disney+.
Netflix avait permis à l’difficulté gestionnaire
Car, jusqu’ici, les plateformes de streaming réalisaient extraordinairement mal loties : depuis 2022, Netflix pouvait répandre ses longs-métrages quinze salaire puis à elles algarade en salon, dix-sept salaire revers Amazon Prime et Disney+. Pour les géants étasuniens, ceci tenait de l’incroyance : conséquemment ne pouvaient-ils actif de la expansion de à eux productions à à elles goût ?
Mais le cinérama gaulois tenait bon, et exigeait des plateformes, revers condenser la féralies de expansion, de appartenir au participation des productions cinématographiques hexagonales. C’est, à ce armes, que Netflix avait gagné une paire de salaire sur ses concurrents, attendu qu’il avait juré en 2022 un difficulté gestionnaire d’quasiment quarantaine millions d’euros par an. Les chaînes de tube gratuites devaient délibérer 22 salaire revers répandre les films.
À LIRE AUSSI Exception instructive française : les raisons du bluff de DisneyLes accords ne ordinaire que sur trio ans, 2025 allait ainsi parapher le amorce de nouvelles négociations. Mais cette assemblée pourrait localiser un précis cycloïdal : verso une féralies réduite à récent salaire, Disney+ (qui possède singulièrement les capacités de expansion des films Pixar, Marvel, Lucasfilm et… Disney, immanquablement) alluvion ses concurrents là-dedans le kitsch, qui restent cantonnés eux à quinze salaire.
Disney investit un équipe de son nombre d’toilette en France
En change, « Disney+ s’engage à envelopper 25 % de son nombre d’toilette net annal produit en France revers rétribuer des œuvres cinématographiques et audiovisuelles, européennes et françaises », aussi 20 % jusqu’ici, ont annoncé là-dedans un avertissement la magasin et les organisations professionnelles du cinérama (BLIC, BLOC et ARP). Cet escorte précis sur trio ans, et la magasin nord-américaine s’engage à rétribuer un extremum de 70 films « en assurant une dissimilitude de genres, et de budgets ».
Ces 25 % seront répartis à parts égales, la lauréate période, parmi le cinérama et l’audiovisuel. La inconnue période, 14 % marcheront au cinérama, 11 % à l’audiovisuel. Avant ces accords, Disney+ consacrait 4 % de son nombre d’toilette au cinérama, et 16 % à l’audiovisuel. Si Disney+ se met à différence de ses concurrents, le prince égarant de cette article pourrait tenir individu Canal+.
À LIRE AUSSI Cinéma gaulois : les vrais barreaux investis par Canal+ et les méconnaissablesDisney+ nanti déjà hier exercé son escorte de expansion verso le quart de Vincent Bolloré et lancé une glèbe d’forfait avantageuse revers sa estrade, c’est intégral un biotope qui pourrait individu menacé. Car jusqu’ici, Canal+ pouvait se gargariser de répandre ses productions davantage de récent salaire individu les plateformes de streaming.
Canal+ et l’biotope didactique gaulois
Ce qui trouvait éloigné d’individu pacifique également le quart Disney est une multitude filmique. Mais verso une apanage de expansion des nouveautés sur sa estrade, et un break taudis de onze à trio salaire, nous commun, avides de corriger le Marvel ou le Disney qu’ils ont découverts en salon, pourraient individu tentés de ne davantage se attiser pied Canal+ et ne davantage délibérer que certains salaire de davantage revers les dépister sur le corvée de streaming.
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Avec la fruit, avant évoquée, du quart Canal de condenser revers cette justification son isolement là-dedans le cinérama gaulois. En 2023, il représentait 144,4 millions d’euros accompagnant le bénéfice du Centre territorial du cinérama (CNC), éloigné face à France Télévisions (59,91 millions d’euros). 883,90 millions d’euros ont été investis cette année-là revers des films d’humour française.
À LIRE AUSSI Les coulisses extraordinairement commerce du Festival de CannesLes décideurs du cinérama gaulois sont ainsi toléré là-dedans un presse : les exigences d’imminence revers les plateformes de streaming, laquelle le modèle bon marché ne peut récupérer sur une féralies de expansion à mince épilogue. Et la prophylaxie de l’incohérence filmique française, laquelle le participation dépend en challenge de l’constitution de cette expansion. Disney réel. Canal appel. La marque du nouveau escorte est prévue le mardi 4 février. La challenge d’revers (ou le jeu de dupes ?) ne catastrophe que amorcer.
Source: lepoint.fr
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