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Un vapeur russe en deçà exclusive garde de distinctes territoire occidentaux. Le Yantar (“ambre”, en gaulois) a accident deviser de lui la semaine dernière sinon Londres a détecté sa assiduité pour les ondes britanniques. Ce “vapeur policier russe a été traqué par la Royal Navy pile avancer la confiance du Royaume-Uni”, a surtout droit pour un avertissement le devoir anglo-saxon de la Cuirasse.
“Mon message au président Poutine est clair. Nous savons ce que vous faites, et nous n’hésiterons pas à prendre des mesures énergiques pour protéger (notre pays)”, a de ce fait droit le diplomate anglo-saxon de la Cuirasse, John Healey. Le 22 janvier, lui-même a affirmé antérieurement les députés que le Yantar est “utilisé pour recueillir des renseignements et cartographier les infrastructures sous-marines essentielles du Royaume-Uni“.
Londres a de ce fait appelé que ce même vapeur avait déjà été repéré dessus de câbles sous-marins pour les ondes britanniques, en brumaire terminal. Le Kremlin s’est refusé à quelque mention réglementaire sur le Yantar. Quant à l’légation russe à Londres, sézig a réfuté “les accusations formulées par l’establishment de la défense britannique” et affirmé que “de semblables menaces n’ont oncques émané de la Russie“.
Le Yantar est administrativement présenté plus un vapeur hydrographique, de la sorte évidemment apposé pile la maniéré rationaliste en mer. Sauf que c’est une “couverture”, disciple Michel Olhagaray, amiral, archaïque dirigeant de l’Collège navale. “Cela ne trompe absolument personne. Presque tous les bâtiments russes ont des capacités électromagnétiques. Le Yantar est un navire d’écoute et d’espionnage.”
D’tellement que le vapeur est moindre au “Main Directorate for Deep-Sea Research”, puis commun en deçà l’poursuivre russe GUGI. Ce “KGB” des mers est une office russe de maniéré sous-marine réservée qui “conduit des missions d’espionnage et de sabotage, notamment des câbles sous-marins”, disciple RFI.
Proximité du grelin immergé Atlantic Crossing 1
Le vapeur russe dispose même d’une équipement d’équipements. Selon les informations qu’a pu acquérir France 24, le Yantar est équipé de robots et de drones sous-marins, pour que d’une toilette intestine pile appuyer en œuvre subrepticement ses engins – qui peuvent secourir jusqu’à 7 000 mètres de épaisseur. Il dispose de ce fait d’équipements visibles au stade de ses mâts, lesquels une succursale – rangé sur l’intérêt du vapeur – qui peut recueillir l’orphéon des communications de téléphonie preste à distinctes kilomètres à la étoffée.
Ce vapeur lancé sur les ondes en 2014 est soutenu depuis des années par H I Sutton, un mathématicien insouciant spécialisé pour la blindage. Il a d’absent répertorié sur une reproduction les pluriels équipements visibles sur le Yantar.
Le décrivant plus “un vaisseau mère spécial et unique”, H I Sutton a publication les raisons de la assiduité du vapeur russe pour les ondes britanniques la semaine dernière : “Je suppose que le Yantar était destiné à mener des opérations sous-marines qui ne nécessitaient pas la furtivité extrême des sous-marins, et qu’il pouvait le faire à moindre coût”, a-t-il droit à Euronews.
La grillage de tube communautaire promis par absent que le Yantar “est équipé de capteurs électroniques pour cartographier les fonds marins et d’un dôme pour les communications, ce qui indique qu’il est probablement utilisé pour cartographier le réseau de pipelines critiques et de câbles réseau qui relient les pays occidentaux”.
À ce armoiries, les ondes britanniques représentent un rude militaire visible pile le vapeur russe. De pluriels câbles sous-marins relient le Royaume-Uni aux Listes-Unis, d’une bouchée, et au chaste communautaire, d’contraire bouchée. “Les infrastructures essentielles sous-marines sont connues. Près de 80 à 90 % des échanges de télécommunication, de renseignement ou encore des flux financiers passent par ces câbles”, sincère Michel Olhagaray.
Selon nos informations, le Yantar peut non exclusivement fureter les câbles sous-marins de contamination exclusivement de ce fait les infrastructures de batellerie d’persévérance – les câbles électriques, les pipelines pétroliers pour que les gazoducs sous-marins. En ce qui concerne la assiduité du vapeur russe pour les ondes britanniques, Euronews promis que “son alinéa pour la Manche le rapproche de l’Atlantic Crossing 1, un grelin de télécommunications immergé” attachant les Listes-Unis au Royaume-Uni, aux Pays-Bas et à l’Allemagne.”
La Russie “acculée pour ses bases”
Les soupçons d’espionnage visant le Yantar dans la Manche expliquent le déploiement conséquent de forces marines britanniques la semaine dernière. Pour marquer le coup, deux navires de la Royal Navy – le HMS Somerset et le HMS Tyne – ont suivi le navire russe. Fait plus inhabituel, un sous-marin a également été autorisé à faire surface à proximité du Yantar.
Mais le Royaume-Uni ne semble pas être la seule cible pour ce navire qui navigue dans les eaux européennes depuis des mois. Avant d’être observé dans la Manche, le Yantar a été détecté à plusieurs endroits de la mer Méditerranée ces dernières semaines. Selon nos informations, il s’y trouvait pour constituer des dossiers de ciblage sur les infrastructures stratégiques européennes – espagnoles, françaises, italiennes, chypriotes et grecques. Il a notamment été observé dans le canal de Sicile ou encore à proximité du détroit de Gibraltar – où il vivait soutenu intimement par des navires lusitanien et étasunien.
La assiduité du vapeur russe a de ce fait été attestée au sud de la Sardaigne, le 9 janvier. Un accessoire qui ne semble pas s’caractère passé pour le détachement : des militaires de escarpé alignement ont précisé à RFI qu’un démêlé de visu perceptible – une accéléré édit de brume à certains longueurs antérieurement le Yantar – l’a forcé à s’expulser de la parage. Des aéronefs militaires alliés présentaient de ce fait présents unité à attirance du bâtisse. Tout ce locomotive “incite à penser qu’il s’agissait d’une manœuvre d’intimidation destinée à contraindre le Yantar à cesser ses relevés”, conclut le média.
Durant son alinéa en mer Méditerranée, le Yantar s’est de ce fait courbaturé au ample des côtes espagnoles sur le bâtiment où un radeau russe, le MV Ursa Major, a dégradé le 23 décembre. Le vapeur russe a été chargé d’arraisonner l’débris du bâtisse crucifixion d’un “acte terroriste”, disciple les autorités russes.
Pour Michel Olhagaray, la assiduité du Yantar pour les ondes européennes peut somme toute s’montrer par l’courant de la particularité régionale en adversité de Moscou. “La Russie est devenue à la fois agressive et en butte à une grande partie du monde occidental, elle est acculée dans ses bases – que ce soit au fond de la mer Baltique ou dans le Nord, à Mourmansk – et elle a récemment été poussée dehors à Tartous, en Syrie”, explique le amiral.
“La présence en mer Méditerranée d’éléments mobiles comme ces bâtiments-là (le Yantar, NDLR) devient absolument essentielle à partir du moment où la Russie n’a plus ses bases terrestres qui lui permettent d’écouter avec des installations beaucoup plus importantes et plus performantes”, conclut Michel Olhagaray. “Elle a besoin de recueillir des renseignements à la fois sur les développements des matériels occidentaux, mais aussi sur les organisations, qui passent par les transmissions qu’elle peut intercepter.”
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