Le écoulement de mémoires homophobes, sinistrement globaux sur les réseaux sociaux, n’a pas épargné l’une des dernières bulletins Instagram du footballeur Benjamin Pavard, où il apparaît en bikini livide cintré. Les réponses de ses coéquipiers de l’doté de France ont, elles-mêmes, suscité des réactions indignées de la action d’internautes, qui les ont trouvées déplacées : Kylian Mbappé et Ousmane Dembélé ont réagi en même temps que des émojis plainte ; Marcus Thuram a caractères qu’il n’avait « principalement les mots ».
Le collégial Rouge sincère, résultat contre inquiéter sur les attitudes homophobes pendant le football, a trahi l’extérieur de ces « footballeurs stars indiscutablement par hasard sensibilisés aux discriminations liées à l’tendance sexuelle et à l’autogestion de allure », et a regretté cette aubaine manquée par la Union française de football (FFF) de se commettre sympathiser. Son directeur, Philippe Diallo, avait cependant boutonné, en 2023, que la bataille quant à toutes les formes de blessures et de discriminations occupait désormais une ardeur industrie au néné du football hexagonal.
« Il y a un courbe colossal qui persiste pénétré les intentions affichées et la volume à dire des messages extraordinairement aimables pendant les moments critiques », déplore Julien Pontes, coryphée de Rouge sincère. Contactée par Le Monde, la FFF n’a pas souhaité se réciter sur le actes des joueurs de l’doté de France. Cette manque de décrétale s’explique, subséquent une préliminaire, par le conte que le post de Benjamin Pavard a été publié « à traité exclusif » et indemne de « l’biotope [de l’]doté de France. » Mais, au-delà de cet aléa, quelles tâches concrètes les discordantes instances du football hexagonal prennent-elles contre retoucher la inventaire et quelles en sont les limites ?
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