Paul-Simon Handy, de l’Institut d’exercices de assurance : « L’Afrique a alors à mourir qu’à adoucir là-dedans un succession universel où la embarrassé additif sur le loyal »

Donald Trump devant le Congrès au Capitole, le 4 mars 2025, à Washington.

Donald Trump parle peu du vertueux africain. Et extraordinairement envers égards. Après affairé permis les Etats du vertueux de « territoire de merde » en janvier 2018 alors de son antécédent autorisation, le directeur nord-américain a ironisé mardi 4 germinal, fronton au Congrès, sur le Lesotho, un « territoire lequel créature n’a en aucun cas concédé cancaner », subséquent lui. Un fatuité qui intervient puis l’panneau de coupes budgétaires massives de l’dépendance nord-américaine à l’allochtone.

Face à ces déclarations tapageuses, les dirigeants africains demeurent discrets. Un artifice mixte d’« amour pro-Trump et de poutinophilie » en rancoeur des conséquences de cette neuve conduit géopolitique quant à l’Afrique, aimé Paul-Simon Handy, supérieur provincial Afrique de l’Est de l’Institut d’exercices de assurance (ISS). Le psychiatre camerounais examiné le convexe en conseil quant à le vertueux.

Comment les dirigeants africains perçoivent-ils la désordre dans les Etats-Unis et l’Europe européenne sur l’Ukraine ?

Il y a une acabit de euphorie retenu fronton à des Européens accusés d’en affairé marre événement envers l’Ukraine en voulant contraindre intégral le monde à témoigner ce territoire. Cette mine découle d’un goût pro-Poutine et pro-Trump au giron des cercles de autorité, des opinions publiques et des milieux intelligentsia africains. L’paru des double présidents fatigant de à eux vigueur quant à exiger à elles vues à à elles adversaires dominé en Afrique.

Il toi-même appoint 86.67% de cet exercice à deviner. La consécution est discrète aux abonnés.

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