Pour son final Tour de France, Romain Bardet s’offrande son primitif tricot topaze

Publié le : 29/06/2024 – 17:53Modifié le : 29/06/2024 – 18:58

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“Mais qu’est ce qui t’a pris ? D’aller gagner à Rimini ?” Sur la vainqueur moment du Tour de France, Romain Bardet a courbaturé tribut, sabbat 29 juin, au instigateur dialectal Marco Pantani en piratant la coude. D’une banderille plantée à 52 km de l’arrivage, il s’est soumis l’moment et le primitif tricot topaze de sa lice. 

Une élégante distinction pile un pistard qui atmosphère longuement promis sa lice au Tour de France. Malgré double podiums (2e en 2016, 3e en 2017), il n’avait par hasard vêtu la peau topaze. Une sottise désormais réparée et cette quatrième conquête d’moment sur le Tour est sinon alarme la davantage élégante.

“Le maillot jaune ? C’était un de mes buts de carrière, mais j’en avais fait un peu le deuil. J’étais parfois trop proche pour qu’on me laisse partir. Là, j’ai suivi mon instinct et à chaque fois que j’ai suivi mon instinct dans le vélo, ça a plutôt bien marché”, a-t-il promis à l’arrivage, individu de apprécier la sursis de la peau aussi convoitée.

Un Grand arrachement étonnant

Ce Grand arrachement du Tour de France 2024 en Italie atmosphère élancé toutes ses accordailles en termes de bouffonnerie et d’peur. Sous le étoile de coupe-circuit de l’été toscan, les coureurs ont d’entour expérimenté un svelte procession d’une délaissement de minutes à cause les rues de la patrie des Médicis plus en bilan d’limonaire une franchie du Ponte Vecchio.

Un antipasti léger individu un collation davantage grand à support de sept ascensions répertoriés et 3 600 mètres de dénivelé constructeur, un performance pile une vainqueur moment du Tour. Un côté d’moment qui a promptement conte des dégâts, spécialement pile Mark Cavendish. Le sprinteur de 39 ans, en enquête d’une 35e conquête sur le Tour pile bercer le performance d’Eddy Merckx, a extrêmement promptement été lâché, dès que la obliquité s’élevait, et il s’est terrassé toute la jour plus l’bras de ses partenaires pile survivre à cause les délais. 

Mais plus un arrachement à Florence et une arrivage à Rimini, le Tour de France souhaitait mieux aimer ses instigateur italiens. À la algarade de la patrie toscane, l’moment a visité Ponte a Ema, agglomération natale de Gino Bartali, un athlète pistard indubitable Juste entre les Nations pile diligent sauvé des judaïques de la transportation. 

Si le “Campissimo” n’a pas été oublié, les Italiens ont mieux courbaturé tribut sur les bords de la chemin à l’adolescent adoré de l’Emilie-Romagne, Marco Pantani, retrouvé extinction d’une overdose en 2004 à Rimini. Banderoles, photos, carré de Pirate… “Pantani vive” (Pantani vit) constamment à cause le apitoiement des Transalpins. Un bel tribut lui ait d’loin courbaturé sur la côte Barbotto dessous responsable d’un lacet Pantani.

Beaucoup de favoris déjà en aléa

Dans l’moment, les élémentaires instigateur s’appellent Matej Mohoric, Ion Izaguirre, Frank Van den Broek, Valentin Madouas, Clément Champoussin, Sandy Dujardin et Mattéo Vercher, sans tarder rejoints par Jonas Abrahamsen et Ryan Gibbons. Les dépense ont constitué la vainqueur absence du Tour. Leur absence s’est déliquescente à prudent des kilomètres et des côtes et sézig a somme toute été tourment de l’clash de Romain Bardet, corollaire à 50 km de l’arrivage en unisson plus son collaborateur Frank Van den Broek à décamper de la côte de San Leo.

Derrière le Français avoir décidé à tracer les fantômes pile son final Tour de France, la chasse s’organise et un mano a mano commence. Une battue à l’personne qui avoir régulièrement se termine mal pile les échappées et le attente tient jusqu’à la procession.

Romain Bardet peut bénir  Frank van der Broek qui accepté somme ce qu’il a pile disposer différents mètres d’douteux sur le troupe. Les double entités s’imposent serré avant le troupe, laquelle le ruée a été remporté par Wout van Aert.

“On a pas eu le temps de penser à quoi que ce soit. L’effort était total. Je commençais à cramper. À 500 m, j’ai vu le peloton mais il y avait encore un peu de marge. On n’a pas cessé de s’encourager”, relate Bardet. “On s’est  bien réparti les tâches tous les deux. Moi, je faisais le train dans les côtes, lui sur le plat.”

Romain Bardet espère remmener le tricot en France mardi seulement détritus constructif : “J’ai couru comme si c’était une classique d’une journée aujourd’hui. Pas sûr d’avoir les jambes pour résister demain dans la côte de San Luca.”