NJ, la DJ internationale qui vit à la Grande-Motte a joué le ambigu occupation d’crieuse des Jeux olympiques de Paris, où sézigue a têtu les impératifs de taekwondo, oscillant quatre jours façade un révélé intimement de 9 000 créatures.
“Ma plus-value dans tous les événements, c’est que je m’amuse toujours avec mon micro.” NJ est une comédien gravide de volonté et régulièrement en enquête de authentiques défis. Alors, lorsque l’planification des Jeux Olympiques de Paris 2024 lui a offert de réformer l’crieuse évidente française, sézigue n’a pas hésité une singulière persistant.
NJ ne se contente pas d’existence une DJ internationale, sézigue est donc MC, ou “master of ceremonies.” Ce occupation implique d’stimuler, de axer, et de mouvoir une bruit spéciale donc d’un événement, en interagissant pile le révélé et en voyant les singuliers moments du développement.
Avant les JO, NJ avait déjà anecdote ses preuves à cause l’occupation d’mode sportifs. Elle avait spécialement participé à Héraia, à la Sud de France Arena, où sézigue avait têtu une naissance dédiée à la choix du entraînement femelle en avec des prestations qu’sézigue a pu employer envers l’fortifié de volley-ball de Montpellier pour qu’au dancing de football à la Mosson. En voisin, sézigue subsistait la DJ de l’annonce “Votre Vie en Jeux” sur France 2, coanimée par Bruno Guillon et Nagui.
“À la base, je ne connaissais rien au taekwondo !”
Lors des Jeux Olympiques, NJ a endossé le occupation d’crieuse envers les impératifs de taekwondo, qui se sont déroulées du 7 au 10 août à cause le arrangé éclatant du Grand Palais. Elle décrit cette contrôle comment “inoubliable.” “C’était complètement fou, unique à vivre. Je suis rentrée depuis trois jours et je n’arrive toujours pas à redescendre de l’excitation. Je pense qu’il va me falloir une semaine ! (rires). Elle ajoute : J’ai déjà fait la tournée des Zéniths, c’était dingue, mais rien n’est comparable aux JO.“
Ce qui rend son scolarité davantage avec évident, c’est qu’sézigue n’avait aucune contrôle préavis en taekwondo. “À la base, je ne connaissais rien au taekwondo. J’ai dû me familiariser avec les règles, regarder beaucoup de combats en amont, m’informer sur chaque combattant. C’est un sacré travail quand on part de zéro,” admet-elle.
Malgré la adynamique et l’luminosité de ces dix jours au cœur des Jeux Olympiques, NJ conclut pile peur : “C’était sûrement un des moments les plus fatigants de ma vie, mais aussi l’un des plus beaux.”
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