Une éternelle challenge des jeunes polonais se sont mobilisés afin le PiS, le évanoui bibliothécaire et xénophobe au influence, malade le 15 octobre à l’résultat des élections législatives. Reportage imprégné Varsovie et Paris malgré de cette écho postérité qui aspire à encore de démocratie.
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“Le résultat de ces élections, c’est une chance pour mon pays.” Ania, Polonaise de 26 ans, se réjouit de l’début au influence de la Coalition patriotique, corollaire par Donald Tusk lorsque des élections législatives du 15 octobre. “Ce n’était pas mon parti de prédilection, reconnaît-elle. Tous mes amis n’ont pas voté comme moi mais tout ce qu’on voulait, c’est que le PiS n’ait pas la majorité.”
La déconvenue du évanoui Droit et Justice (PiS) est un certain réconfort afin cette serveuse et soprano à Paris qui a quitté son peuplade originaire postérieurement l’début au influence des conservateurs en 2015. “À ce moment-là, la religion a commencé à prendre beaucoup de place dans le pays, se souvient-elle. Et quand on a commencé à nous priver de nos choix, c’est là où je me suis dit que je devais partir.”
Dans les monuments, les Polonais ont exprès un bouture du encensement et des mesures populistes, nationalistes et eurosceptiques du PiS. Avec un cours de concours fameux de 74 %, en aucun cas tellement de Polonais n’avaient voté à des élections depuis la bûche du autogestion, en 1989.
Une concours geste des jeunes
Et ce articulation est en évanoui dû au votation des jeunes. Leur cours de concours a arrivé 68,8 %, suivant l’communauté de enquête Ipsos. Du jamais-vu.
“Ce n’est pas un secret que beaucoup de jeunes ne sont pas d’accord avec ce que représente le PiS”, commente Radek, élève à l’institut de microsillon de Varsovie.
Quels sont les espoirs et les attentes de cette juvénilité ? Pourquoi a-t-elle en majorité voté afin le PiS ? À défaut le comparaison de un couple de Polonais, Ania et Radek, face d’une écho postérité qui aspire à encore de démocratie.
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