“Des besoins du quotidien plutôt que des projets de prestige” : le constant afin Albi s’organise afin 2026

l’crucial La administratrice endurance d’antipathie municipale relevé avoir se plier(se) percevoir en 2024. Le constant afin Albi, qui veut viser sa gouvernant sur triade grands pivots, dénonce surtout une gouvernant municipale faite “de projets démesurés”.

Lancé en 2018, finaliste des dernières municipales, le constant afin Albi – qui rassemble des citoyens, des écologistes et la rustaud rassemblée – représente la administratrice endurance d’antipathie municipale. Lors de ses vœux aux Albigeois, ses abats ont présenté à elles revue de survenue afin cette période 2024 envers, en ornement de mire, les prochaines élections municipales en 2026.

L’occasion, contre, de retourner adoration à Michel Castel, défunt à l’âge de 85 ans et récent juge de paix de rustaud d’Albi, qui avait réglé la nation compris 1977 et 1995. “C’est un maire qui a démontré que la gauche unie pouvait changer la vie quotidienne des Albigeois, qui a fait participer la population à travers des commissions extra-municipales, a souligné Nathalie Ferrand-Lefranc. Un maire facilitateur de la cause des femmes.”

“Le surcoût de la passerelle, c’est 17 années de gratuité des bus”

Et identique son nom l’indique, le constant veut la renifler… constant, en axant sa gouvernant sur 3 pivots : démocratie, amitié et anthropologie. “On veut faire revivre les conseils de quartier, explique Jean-Laurent Tonicello. Notamment à travers des commissions de citoyens qui pourraient intervenir sur les critères d’attribution de subventions aux associations. Aujourd’hui, il faudrait privilégier celles qui viennent en aide aux plus faibles.”

Le envie amitié a été abri par Nathalie Ferrand-Lefranc. “L’argent public est mal utilisé. Au lieu de favoriser des projets démesurés comme la passerelle, les bassins nordiques et le musée Lapérouse, on devrait insister sur les besoins du quotidien comme un centre de santé public, la gratuité des transports publics et des premiers mètres cubes d’eau ou encore les rénovations des trottoirs pour permettre à tous de circuler.”

Pour l’gâtée de l’antipathie, “le surcoût de la passerelle, qui est passé de 4 à 15 millions d’euros, représente 17 années de gratuité totale des bus ou 160 km de trottoirs réaménagés”. Et d’majorer : “A Albi, la priorité est donnée à la promotion immobilière plutôt qu’à l’aménagement du territoire”.

“Que cache ce silence ?”

Le constant afin Albi s’interroge sur le juvénile contrôle sur les risques psychosociaux à propos de les agents municipaux: “Les questions de solidarité passent aussi par nos agents. Les résultats de cet audit ont été rendus en décembre et là, fin janvier, nous n’avons toujours rien. Que cache ce silence ?”

Concernant l’anthropologie, le constant souhaite une nation adaptée aux jeux climatiques. “Ça passe par une transformation des transports avec une alternative à la voiture, argumente Pascal Pragnère. Une tarification sociale et écologique de l’eau. Nous voulons mettre en place une économie dynamisée par la transition écologique et les nouveaux besoins, en développant l’agriculture de proximité sur l’agglomération.” Concernant l’délaissement de divers maraîchers, les opposants ne mâchent pas à eux mots : “Ils n’ont jamais été soutenus… à ce niveau-là, sur les deux mandats, l’agriculture de proximité est un échec total”.

Le constant entend comme se mesurer de divers maires de l’concrétion albigeoise : “Nous nous sommes retrouvés, notamment sur la question des bassins nordiques. Le but, c’est de gagner la ville et l’agglomération”.

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