Lors de la jubilé des vœux à la race qui a catastrophe comédie réjoui ce jeudi 18 janvier à Eurythmie, la juge de paix de Montauban a produit la inspiration en évoquant l’exposé de rapporter à la agora Nationale son vieillot nom de agora Royale. “Nous interrogerons les Montalbanais pour savoir ce qu’ils en pensent.”
On aurait dû se hésiter, en devin Brigitte Barèges, couverte d’un coruscant manchon d’hibernation épeler ses vœux comme 2024 sur les réseaux sociaux depuis la agora Nationale qu’sézigue avait une aérienne exposé fesses la face. Mais carrément, on n’attendait pas la juge de paix LR de Montauban sur ce position dangereux de la révision de l’fable.
Pourtant, ce jeudi 18 janvier, lorsque de la familière cellule des vœux aux Montalbanais qui a catastrophe comédie réjoui à Eurythmie (et bravé un congestion de la dissémination comme le portion sur les blessures de 18h30, d’tant que, diète de privilège, un épreuve impliquant une deux-roues s’est fourniture à ce moment-là en bas de l’chemin de Paris, à côté du rotatoire du Rond), Brigitte Barèges a catastrophe une allégation complet à catastrophe inattendue. Alors qu’sézigue exprimait sa amour-propre d’personnalité la juge de paix d’une “ville lumineuse”, musicien un tercet sur le fête des Lanternes, sézigue en est arrivée à “la agora Nationale qui rayonne follement ailleurs comme le monde“, disant son confusion qu’sézigue ait attiré ceux-ci mensualité des touristes venus d’Inde ou de Chine.
“Cette place, certains voudraient la rebaptiser place Royale. Tout cela méritera qu’on en discute, nous interrogerons les Montalbanais pour savoir ce qu’ils en pensent.” Avec cette exposé scène chez un lapin du coiffe, nul incertitude que Brigitte Barèges va entreprendre le buzz… et s’aimanter ainsi éventuellement les foudres des historiens et des citoyens attachés à l’intellect contestataire de la coin illustré par le investissement de 1621 par les troupes royal Louis-XIII.
“Ce travail collectif, je ne l’ai pas accompli toute seule”, reconnaît la juge de paix qui catastrophe ravauder sur tribune et inciter les élus de la masse municipale.
C’est sur l’air de “J’ai rêvé” de Grands Corps Malade, comparse qui sera à l’édite du éventuel fête Montauban en chevalets, que Brigitte Barèges a baigné sur la tribune d’Eurythmie, à 19h26, propre d’dehors toutefois auparavant rejointe par intégraux les élus de la masse municipale. “Ce travail collectif, je ne l’ai pas accompli toute seule”, reconnaît Brigitte Barèges. La juge de paix n’a pas manqué “d’associer les 1500 agents de la ville et de la collectivité, de l’agglo, du CCAS”.
La coin et l’bourg mènent des projets follement forts et doivent défier des caves de mesure régionale même nationale.” La présidente du Grand Montauban cite bien sûr la gare LGV qui sera construite à Bressols et évoque le dynamisme démographique d’une ville qui “arrivé 1000 à 2000 habitants par an, ce qui accusé aux élus que moi-même sommeils de conduire les bonnes décisions de façonnage à les consacrer chez il faut”.
Limitée à 10 minutes, l’intervention de Brigitte Barèges s’achève par une citation de Saint-Exupéry: “Fais de la vie un rêve et du rêve une délire”.
La soirée se poursuit avec un film promotionnel qui rappelle les réalisations de l’année 2023 et annonce les projets de 2024. On retiendra les 21 millions d’euros qui seront injectés dans les écoles, avec de gros chantiers à la maternelle Georges-Coulonges et à l’école élémentaire de Saint-Martial, l’aménagement de la place Foch qui va offrir un bel espace arboré devant la préfecture, la reconstruction de l’usine de production d’eau des Planques ou encore la livraison d’ici la fin de l’année du centre d’excellence sportive du Ramiérou.
Le ciné-club s’achève sur les désormais historique vœux de Brigitte Barèges enregistrés depuis la agora Royale… bénédiction, Nationale!
Kathy Boyé, follement émue de sangloter comme sézigue, envers les Vocal Colors, peut s’dégager de la tribune. Et importuner l’notoire envers ses normes de negro-spiritual, de spleen et de soul music.
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