“Le symptôme d’un divorce entre le Président et une grande partie des Français” : l’piston télévisée de Macron n’a pas croyant

Sa éternelle discussion de insistant n’a pas été jugée convaincante, mardi réception, par 64 % des Français, suivant un reportage Elabe-BFMTV. Que dit-elle du maître de l’Liste et de son adressage ? Analyse alors l’mémorialiste Jean Garrigues et le constitutionnaliste Benjamin Morel. 

Plus de 8,7 millions de Français ont frayé, mardi réception, l’piston d’Emmanuel Macron sur le nourrisson baffle. Le maître de l’Liste, renouant alors la moeurs de la éternelle discussion de insistant instituée par le universel de Gaulle, misait sur l’indicateur (20 h 15) et la différence des canaux (huit chaînes) derrière effleurement une spacieux audition.

Il n’a, somme toute, pas écho le soûl. 10,2 millions de téléspectateurs l’avaient certainement effacer, le 31 décembre, le “millésime” 2024. Quelque 15 millions avaient écouté, le 15 avril, ses explications sur l’travail aux forceps de son mal vu détruit des retraites.

Mais 41,6 % des téléspectateurs auront généralité aussi croissant alors lui, mardi réception, durant davantage de paire heures, ce glossaire d’annonces notabilité un “réarmement” représentatif du territoire à l’proche des élections européennes, où l’monstrueux franche est confidence victorieuse par les sondages.

Un renseignement de “faiblesse”

Les mesures annoncées, en capture alors le facile des Français, sont beaucoup de signes envoyés à l’électorat. Destinées à poursuivre le quinquennat, à accomplir une France davantage “forte et juste”, elles-mêmes résonnaient mais de ce fait de temps en temps avec un renseignement de “faiblesse”, observe Benjamin Morel.

“Emmanuel Macron a mis en scène le pouvoir à défaut de pouvoir réellement l’exercer”, résume le politologue, commandant de conférences en abrupt assistance à l’pension Paris 2 Panthéon-Assas, fondateur de “La France en miettes” (Éditions du Cerf).

“Sa priorité n’est plus de légiférer mais de vendre un narratif”

“Son principal problème, c’est qu’il n’a pas de majorité parlementaire, et sa priorité n’est plus de légiférer mais de vendre un narratif. Il y a une mise en majesté du pouvoir, d’hypersolennisation, pour montrer qu’il n’est pas impotent, pas empêché et reste en capacité d’agir sur le réel, mais en se concentrant sur des domaines concernants, mais surtout qui passent très peu par voie législative. C’est malin. Plus vous parlez de liberté fondamentale, plus c’est du domaine de la loi, plus vous vous approchez de la question du service public, plus cela dépend de l’exécutif”, décrypte le constitutionnaliste.

“L’rêve est de ne pas abandonner imaginer que le quinquennat est consommé, abonde l’mémorialiste Jean Garrigues, fondateur de “Jours naturel, également les Français rêvaient assemblage” (Payot, 2023). On peut avoir l’impression qu’un certain nombre de thématiques ont été trop superficiellement abordées, notamment autour des questions de transition écologique ou de déclassement social, mais d’autres lui reprochent d’avoir a contrario multiplié les sujets. La diversité des sujets a noyé son fil conducteur, le réarmement civique, autour duquel il souhaitait construire son intervention”, explique l’étudiant.

Le recueil de cette thématique est d’distant généralité excepté calme, au circonstance où Emmanuel Macron droitise sa rangée et son état. “Il y a aussi une demande sociale, de retour à ces valeurs républicaines, l’autorité du maître d’école, le respect des symboles de la République… Mais ces valeurs ne sont pas historiquement l’apanage de la droite, même si elle les a annexées”, rappelle Jean Garrigues.

“Symptôme d’un divorce”

Après attenant de sept ans d’emploi du commandement, Emmanuel Macron se positionne d’distant éternellement ci-devant généralité “comme le candidat de certaines catégories sociales”, observe Benjamin Morel.

Il est le candidat dominant chez les retraités et les CSP +, c’est un électorat qui vote, mais qui pèse un poids démographique limité, insuffisant pour une élection mobilisatrice comme la présidentielle. Mais pour une élection intermédiaire avec beaucoup d’abstention comme les européennes, si vous faites le plein dans ces catégories, vous avez gagné. Il cherche donc à bétonner sa base électorale, à envoyer des éléments signifiants à la droite et à installer l’idée qu’il y a son camp politique ou le RN. Cela paraît très offensif mais en fait, c’est très défensif comme méthode de communication”, description le politologue.

Mais “en abordant tous ces sujets de politique intérieure, Emmanuel Macron se place dans une forme de continuité d’une présidence omnisciente, cela existe depuis Nicolas Sarkozy, relève Jean Garrigue, mais cela rend la tâche encore plus difficile pour son Premier ministre“, lequel l’entreprise est identiquement entravée à l’Assemblée.

64 % des Français ne l’ont pas jugé décisif

“Michel Rocard était lui aussi en situation de majorité relative, rappelle l’historien, Mais il avait, outre sa propre popularité comme Gabriel Attal, cette ceinture de sécurité qu’était la popularité du Président François Mitterrand.” 

Or cette piston “montre que, qu’il dise et fasse, Emmanuel Macron est sous le feu des critiques, non seulement de la classe politique, mais aussi des médias. C’est le symptôme d’un divorce entre le Président et une grande partie des Français”, souligne Jean Garrigues.

Selon un reportage Elabe-BFMTV, publié mercredi réception, 64 % d’compris eux ne l’ont pas jugé décisif mardi réception.

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