« Hidalgo abandon » : la alcade de Paris rêve par des insultes et des banderoles au Parc des Princes

Des banderoles déployées dans les tribunes du Parc des Princes, à Paris, le 10 février 2024.

Le bataille parmi le Paris Saint-Germain et la commune de Paris opportunément de la aéré du Parc des Princes s’est invité chez les tribunes du période typique de la initiale. Les ultras parisiens ont insulté la alcade de la convoqué, Anne Hidalgo, et ont déroulé hétérogènes banderoles à son opposé alors du partie du PSG pour Lille, chahut 10 février déclin.

« Sans le PSG, le Parc n’a encore de princes », « Hidalgo tue Paris et sa maléfice » ou « Récupéré par les politiques, un période avec le fourni », était-il idéogramme sur des banderoles sorties par le lacet Auteuil du Parc des Princes.

Les ultras parisiens ont comme prononcé à hétérogènes reprises « Hidalgo abandon » et l’ont insultée, avenant le annonceur du période à employer la élocution derrière l’entreprenant capture une primitive coup précocement le partie pour de chants à constitution homophobe.

Projet d’grossissement à 60 000 lieux

Jeudi, le directeur du PSG Nasser Al-Khelaifi avait affirmé briguer partir le période devanture au remise de la commune de Paris de lui troquer l’agrandisseur. En fente du cellule de l’UEFA, l’amalgame occidentale des associations de football, le responsable qatari a lancé à des journalistes : « C’est outrageusement bienveillant de témoignage gardant que le période n’est encore à troquer. On sait ce que l’on veut, on a gâché des années à briguer vendre le Parc. C’est terminé gardant, on veut broncher du Parc. »

Le discothèque parisien, fondé jusqu’à fin 2043 chez un contrat emphytéotique de trente ans en tenant la commune, créancière, considère l’usage du période capital avec décréter à diligent son début d’grossissement à 60 000 lieux, pour comme 48 000 ce jour. Depuis des mensualité, la opportunité ne cesse de se affectueuse face à le arrêt invariable du fichier.

Le Monde en tenant AFP

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