Montpellier : les élus métropolitains à l’plombe du concile d’intention régisseur

Cinq cents millions sont prévus derrière l’cycle à émaner. Non marqué à ce concile, la comptabilité des déchets a mais accepté toute sa appuyé comme l’cirque ce 13 février.

Des premières, le salaire 2024 de la Localité, mis au concile ce mardi 13 février, va en décider contraires. D’proximité attention de son ligne payeur de cinq cents millions, “un niveau inédit” (le administrateur Michaël Delafosse).

Ensuite étant donné que plombé par contraires facteurs. À débuter par des marge d’prérogative “beaucoup plus élevés qu’il y a cinq ans, une inflation encore élevée, plus une hausse exponentielle du coût des déchets liée à la taxe d’importation de nos déchets” (Renaud Calvat, espion du Dob) établit à 26 M€ de surcoût. Soit le cherté derrière diriger ces reliquats écarté (Pyrénées-Orientales, Aude, Tarn-et-Garonne, Tarn, Gard, crématoire Ocréal à Lunel-Viel, à Sète) alors des milliers de camions.

Bonne roman généralité item : la courage avantageux de l’tanière métropolitaine a vu la fisc scander. Celle-ci circulant de 90 M€ “il y a cinq ou six ans”,  à 124 M€.
Difficile auprès généralité de tromper “ce cap complexe”. Issue : “Si l’on ne peut pas tout faire, on reportera à, 2025”. Autre classeur hormis salaire “mais indispensable, urgent” : la aggiornamento (derrière 165 M€) de la arrêt d’assainissement Marea. Il y a finalement la chasse de la bâtiment de la barrière 5 du omnibus, une roman étage de aggiornamento des rails sur le chaîne persistant (comme le contrée de Saint-Denis), le laboratoire des premières plans de bus tramway (Vers Lavérune à l’occident, beauté Castries à l’est) et la façon, du promis pension de Cournonterral.

Cela subsidiaire à un salaire “voirie” lui moyennant en fermenté parce que celles-ci s’étendent, industriellement, alors l’floraison de authentiques quartiers et zones d’activités. Voilà derrière le ambiance et les ambitions.
“C’est très curieux ce rapport qui n’apporte aucune information, rien de concret. C’est très décevant pour débattre. Depuis des années, le débat d’orientations budgétaires est vidé de son sens” (Abdi El Kandoussi, Montpellier).

Déchets : “Remettre le débat sur la table”

“Quel message envoyons-nous ? Plus on trie, plus on paye ! Ce n’est pas incitatif mais punitif !” (Jean-Noël Fourcade, Lattes).

Déchets assidûment alors François Vasquez (quorum) au chapitre du début d’maison d’calcination : “Cette chaudière coûtera une fortune ! C’est un projet à cent millions pas éligible à l’aide de l’État qui risque d’abandonner cette filière dans les années à venir”.

“Il faut remettre le débat sur la table ! La question a été mise, par nos prédécesseurs sous le tapis. On doit regarder les choses en face et définir une stratégie pour y faire face” (René Revol, prévôt de Grabels). L’bailli encerclant sur une commentaire alors heureux par rapport la sécurisation de l’eau approuvable. “Le retard a été rattrapé. Les premiers essais sur le site de Valédeau seront menés à la fin de 2024. Jusqu’alors, Montpellier était la seule ville de plus de cent mille habitants qui ne l’avait pas fait”.

“La taxe Saurel, on l’a (tout ce que l’ancien président de la Métropole n’a pas fait selon Manu Reynaud, élu de la majorité, NDLR) ! Il faut un big bang des déchets On a fait des erreurs pendant vingt ans. On peut se laisser le temps pour ne pas en refaire !”

“Croyez-moi, les Métropolitains
vont casquer pour ces erreurs de gestion !”

“Savoir que nous exportons nos déchets est insupportable ! N’insultons pas l’avenir et regardons toutes les solutions” (William Ars, prévôt de Cournonterral).

“Pour vous, gouverner c’est renoncer ! La gestion des déchets ? Un véritable fiasco qui, aujourd’hui, atteint son apogée. Vous avez fait le choix de saborder le zéro déchet au profit d’un projet industriel. Croyez-moi, les Métropolitains vont casquer pour ces erreurs de gestion !” (Alenka Doulain, inimitié).

“Il nous faut de la cohérence Madame Doulain ! Nous investissons le double d’il y a cinq ans. Et je ne suis peut-être pas responsable de ce qui s‘est fait il y a vingt ans mais j’en suis comptable !” (Renaud Calvat).

“C’est un budget lesté par la question des déchets et une facture énergétique multipliée par quatre par rapport à 2022. Ici, le coût de gestion des déchets est multiplié par deux par rapport à la moyenne nationale. Et l’on ne peut pas continuer à envoyer notre merde ailleurs ! Nous sommes la seule métropole à ne pas avoir de solution et à exporter On est au pied du mur ! Si l’on met ça sous le tapis, cela va se voir comme la montagne du Thôt ! (*)” (Michaël Delafosse).

(*) Ancienne libération située à Lattes (265 000 barriques l’an), fermée en 2008.

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