Polémiques Amélie Oudéa-Castéra : “Théoriquement, elle est sur un siège éjectable”… à quel point de moment peut plus renfermer la diplomate ?

l’édifiant Les déclarations polémiques de la diplomate de l’Education nationale, dès sa obtention de emploi, ne sont généralement pas passées pendant lequel les rangs des enseignants, en sable ce jeudi 1er février. Les jours d'”AOC” sont-ils comptés rue de Grenelle ?

Quand s’achèvera de ce fait le piste de crucifix d’Amélie Oudéa-Castéra ? La diplomate de l’Education nationale, embourbée pendant lequel les polémiques, a conte frontispice ce jeudi à la colère du monde pédagogue, à l’opportunité d’une jour de recours.

“Exaspérés” par sa infection désastreuse, les enseignants dénoncent l'”amateurisme” de la diplomate, qui, rappelons-le, a cristallisé la acrimonie ultérieurement ressources justifié l’écusson de ses descendants à l’élévation interne sélectif Stanislas par “des paquets d’heures pas sérieusement remplacées” pendant lequel le commun.

A dévisager quant à : Amélie Oudéa-Castéra : “pas bien payée” à la FFT quoique 500 000€ bruts par an, lui-même a touché 53 000€ quant à 8 retrouvailles en 2021 pendant lequel le interne

Dans l’décor de la diplomate, on l’assure mais : “AOC” mène “un travail minutieux”, et se consacre désormais à “convaincre sur le fond” et “par la méthode”, rapporte Politico. A l’charge mardi déclin, la diplomate s’en est même reçu à ceux-ci qui, “même au sein du Parlement”, font d’lui-même le “symbole d’une caste” à “abattre”.

“Attal n’en veut plus, semble-t-il, mais Macron la soutient”

Mais au colline de la libération, le embarras home. “La difficulté, c’est qu’en six mois, on est arrivés à se créer une crédibilité en salle des profs. Et en trois jours, c’était fini”, regrette un boîte de la libération à l’Assemblée. “Beaucoup” de responsables macronistes “souhaitent que le président s’en débarrasse lors de la deuxième vague du remaniement”, résume plus l’un d’eux contre du Parisien.

“Théoriquement”, Amélie Oudéa-Castéra “est sur un siège éjectable”, étude le politologue Benjamin Morel. “On imagine mal comment elle pourrait être audible après toutes ces polémiques. Même le monde du sport, dont elle est issue et qui constitue sa base, va avoir du mal à l’entendre”, ajoute le déité de conférences en droite commun.

La effet de la vote du situation Attal verra-t-elle de ce fait la diplomate débarquée ? Rien n’est moins sûr, renommée le politologue. “Emmanuel Macron la soutient et déteste qu’on lui impose des choix”, explique Benjamin Morel. “D’autre part, Gabriel Attal se retrouverait face à un problème de ressources humaines : qui, au gouvernement, est en mesure de prendre le portefeuille de l’Education nationale ? Aurore Bergé ? Elle en aurait probablement les capacités mais on sait que le monde de l’enseignement ne l’apprécie pas vraiment…”

Les syndicats, primitifs soutènements de la diplomate ?

Autre démonstration, de préférence paradoxal, en auspice du visage d’Amélie Oudéa-Castéra : le désamour des syndicats. “Ça paraît assez étonnant, mais le premier soutien de la ministre, c’est finalement les organisations syndicales”, étude Benjamin Morel. “Elles ont beau appeler à sa démission, nul doute qu’elles sont finalement assez contentes de voir leur ministre aussi affaiblie”, plant le politologue. “Elles se savent en position de force et comptent bien en jouer”.

Emmanuel Macron, lui, semble ne pas ambitionner détendre sa diplomate. “Attal n’en veut plus, semble-t-il, mais Macron la soutient”, assure un envoyé au Parisien. Le présentateur de l’Etat, qui avait réel des “propos maladroits” de sa diplomate, avait prôné “l’indulgence” tandis de sa colloque de fondé XXL à l’Elysée, le 16 janvier moderne.

A dévisager quant à : Amélie Oudéa-Castéra : “Sans cette intervention, il serait encore président…” La diplomate a-t-elle désuet ses prérogatives tandis de l’combat Le Graët?

“Ils la défendent encore par principe”

Pour le envoyé environnementaliste Benjamin Lucas, “un premier signal d’apaisement” pour la “communauté éducative” serait de lui “offrir une interlocutrice ou un interlocuteur” et “donc de changer le ministre de l’Education nationale et des Sports”. Une distance qui, à en échafauder Politico, serait sur la chère de l’Elysée. “Ils la défendent encore par principe, parce que sans ça, elle est morte. Mais ça n’empêche pas de cogiter sur un plan B…”, soufflait un boîte à nos confrères mercredi déclin.

Ce “plan B” porte-t-il le nom de François Bayrou ? Si une pareille vote peut paraître surprenante, lui-même semble renfermer la ralingue. “Ça aurait de la gueule, et ce serait un moyen pratique de sortir Oudéa”, luge par conséquent un envoyé Modem à Politico. Mais quant à comprendre le consul de Pau titularisé rue de Grenelle, plus faut-il douter le 5 février éventuel, jour au catégorie auquel le Béarnais sera fixé sur son chance pendant lequel l’combat des assistants parlementaires du Modem.

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