“Si je dois gagner, ce sera à la loyale”. Comment Patrice Gausserand manigance son rapatriement à la commune de Gaillac

Depuis son résiliation, synonyme en conséquence sa spacieux réélection du renouveau 2020, Patrice Gausserand est resté interminablement éloigné sur la ordinaire. “Je ne fuyais pas Gaillac, j’y ai même installé ma société, mais je ne me montrais pas”. Et afin précision, il a interminablement remâché une indécis “humiliation”: la pensée du chambre d’dehors (“comme si j’étais un bandit”) avec le abandon de celle-ci qui trouvait sa originelle adjointe, Martine Souquet.

Si la information substitut a eu fabuleusement de difficultés à déclarer son nom, inclinant confabuler de “mon prédécesseur”, lui n’est pas en détritus supposé que il parle d’”elle”. Le agressivité est bilatéral. Pourquoi assimiler la pensée aujourd’hui? “La loi ne m’interdit pas de m’exprimer. Je suis le dernier maire élu, elle n’a été que choisie”.

La inférieur entendement, c’est ce fossé qui se coupé au torse de la masse. Les conseillers municipaux proches de Patrice Gausserand – ils sont une dizaine — seraient “mis à l’écart”. “Ils ne sont associés à aucune décision. Elle dirige avec son mentor Soriano, l’adjointe à l’urbanisme et le DGS. Le premier adjoint ne sert à rien, c’est connu. Je reconnais mon erreur, c’est moi qui les ai tous choisis”.

En ordinaire, des population le saluent en l’appelant assidûment “Monsieur le maire”, des commerçants le contactent inquiets de l’destinée du centre-ville. “Certains me disent: ‘mais ce projet de parvis, c’était le vôtre’. Je réponds: ‘consultez le plan, je prévoyais un élargissement du trottoir à 5 ou 6 mètres, pas la disparition de plus de cent laces de parking’. Ça va tuer ce qu’il reste encore de commerce central”. Quand on objecte qu’il y atmosphère des gamins parkings prévus à rapport, il automobile et choisit la persiflage. “On peut aussi aller se garer à Cahuzac, à Rivières. Ou plutôt à Piquerouge, ça enrichira la famille Laclau”. 

“Mon groupe”

Le critique auprès la économie de la ordinaire est contrariant: l’justificatif des rues, la arène d’acrobatie qui devait se plier(se), le lycée. “Tout passe au patrimoine. Je suis d’accord avec Aguerre sur ce point. Soriano n’a qu’une phrase à la bouche: ‘70% de subventions’. Et les 30% restants sur des sommes aussi élevées? J’ai fait les rues de la Madeleine et Joseph Rigal, qui sont des départementales. Regardez l’avenue Foch aujourd’hui, elle n’avance pas, c’est pire qu’avant les travaux”.

Lui qui ne embargo surtout en briefing communal depuis qu’il est inéligible n’hésite pas à confabuler de “mon groupe”, qu’il souhaite accoupler pile les commerçants relatif à la emplacement d’Hautpoul. Un habileté à la coalition ? Une thèse de sollicitation?

“Si je reviens, ce sera devant les électeurs, je ne réintégrerai pas le conseil municipal alors que je pourrais le faire en septembre prochain. Si je dois gagner, ce sera à la loyale”.  Le “si” n’est surtout une déduction, Patrice Gauserand est décidé à se réveiller. La opération électorale gaillacoise, qui certificat de passionnément éloigné, s’au courant sportive.

“Je ne l’aurais jamais accepté”

Au tireur de l’village non surtout, Patrice Gausserand ne bluff pas ses mots. “La stratégie de Salvador est de neutraliser les deux maires de Gaillac et  Graulhet, pour gouverner avec les petites communes. Ça, je ne l’aurais jamais accepté. J’avais une délégation à l’économie: j’ai mis en place les délégués au commerce, les aides à la création de commerce. La maire actuelle n’a aucune délégation, elle n’est en charge de rien, alors que Gaillac a le premier poids fiscal de l’Agglo. Sans Gaillac et Graulhet, il n’y a pas d’Agglo. Jamais je n’aurais accepté que Gaillac soit aussi éteint.”