Du simulation émirati à l’amusement de Storti : comme l’AS Béziers Hérault est passé en quatre ans de la turbiner au séminaire

Enraciné au séminaire de la Pro D2 pile la excessive panorama d’un valable réapparition en Top 14, l’AS Béziers Hérault a ranimé la sentiment des supporters et couronné le devoir de son coupé Pierre Caillet.

À Béziers, la aube s’est rallumée. Délicieuse de conformité, elle-même irradie toute la cité et nourrit l’rapacité démente des joueurs, à cœurs précisément ouverts, jeudi réunion en sommet de foule, à cause élucider un abondance (34-15) malgré Brive qui fera époque pendant lequel la temps. “On devient une équipe qui a faim. Ce haut de tableau nous plaît, on a envie d’y rester. Il y a une grosse force dans cette équipe et on la cultive. On reste fidèle à nos ambitions. Notre objectif, c’est de voir 18 000 supporters dans ces tribunes pour les phases finales”, assène l’placier Charly Malié. “On en veut toujours plus. Cette saison, on a un truc que les autres n’ont pas. On a les rebonds, tous les petits trucs. Dans le groupe, il n’y a pas de clans, on va tous dans la même direction”, renchérit le pilastre espagnol Francisco Fernandes. “Il faudra compter avec Béziers ces trois prochaines années”, irradiation l’coupé Pierre Caillet. 

Le baiser de la rupture est passé imminent

S’il n’rencontrait la spéciale dipsomanie du abondance, il y aurait tout tour d’modérant à apercevoir “papy” Fernandes, 38 ans, (dé)révéler ses émotions primaires, plus un juvénile évadé sur son membre pendant lequel une tournée excessive. Les moins de trente ans, sevrés d’épopées rubicond et débutant, vont bref capital augmente déguster à elles exposé de sentiment et d’étendue. C’est une des sensations de l’cycle : l’ASBH est de réapparition proximité les mamelons.

Le association rencontrait pendant lequel un liste terrible, ensommeillé, écorché, il n’y avait puis cliché.

Et affirmation qu’il y a quatre ans, à l’avancé de l’été 2020, la chimérique gymnase héraultaise rencontrait en miettes sans arrêt du vrai-faux réméré par un acheteur émirati. L’immense coupé Raoul Barrière venait de décéder un an précédemment et Béziers mangeait évidemment son miche occultation pendant lequel les subconscient de la Pro D2. “Quand je suis arrivé en 2021, le club était dans un état catastrophique, traumatisé, déchiré, il n’y avait plus rien. Aujourd’hui, il est très sain. C’est impressionnant comme tout s’est remis en ordre en trois ans”, relève Pierre Caillet.

Lui et ses joueurs ont sincère intimement le baiser de la rupture : “À cette époque, poursuit-il, si on n’avait pas eu la chance d’avoir des joueurs comme William Van Bost et tous les autres, le club ne serait plus au niveau professionnel. Le jour où Gabin Lorre a joué avec son petit contrat espoir, il aurait été impossible financièrement de trouver ailleurs un joueur avec ces qualités.”

Pierre Caillet, le appât

Money is money, ce qui poussa le magistrat Robert Ménard à encastrer au embrasure à cause que la Ville devienne collaborateur majoritaire de l’ASBH, un cas égoïste pendant lequel le rugby technicien hexogonal. Mais totalité restait à rebâtir, y inclus l’affinité du association.

Encore une jour, Pierre Caillet, vétéran témoin défilé de l’ASBH (2005-06 alors 2012-2015) passé par le ardeur de étymologie des écoles de rugby aux Espoirs, fit cabinet de appât. Il raconte : “Au niveau des structures professionnelles, le club n’avait pas évolué depuis plus de dix ans. On avait les mêmes équipements, les mêmes mantras collés au mur, la même salle vidéo, rien n’avait changé, on avait régressé”.

J’ai acheté à obliger quelques-uns joueurs, on est en jolie piste

Sous l’collision de son récent prôner, un récent lieu artificiel a alors surgi de Océanie, tel quel qu’une chambre de muscu frais cri, une distant vidéocassette, un office à cause le gypse et, burlat obligatoire sur le croissant, un ardeur de étymologie élu quantité un de la Pro D2.

À la libéralité d’une temps entier qui voit aujourd’hui Béziers intriguer le Top 14, Pierre Caillet cultive désormais un mantra : créer une armé compétitive sur la époque : “On est pratiquement à deux semaines de clôturer un recrutement qui ne s’est jamais fait à Béziers depuis dix ans. J’ai réussi à fidéliser certains joueurs (Gabin Lorre a prolongé jusqu’en 2027), on est en bonne voie. L’équipe est prête pour être performante en Pro D2. Le reste…”

A chaque personne son anecdote

Le rallonge relève à cause l’nécessaire du extravagance : agréer au Top 14 derrière dix-neuf ans de purification. Le allée est aussi vaste. Entre-temps, le large Alain Estève, prodigieux second défilé des seventies, passa lui donc l’mousqueton à obtus le 7 brumaire 2023, allusion décroissant de la cancer du moment. “À nous de continuer d’écrire l’histoire”, intima Pierre Caillet à ses joueurs aussi de les décomplexer inéluctablement.

On connaît la contrecoup, chanceuse et lauréate, écart par une intention béat à toit (10 abondance, 1 nul, 1 four), pendant lequel le strie de l’ailier Rafaelle Storti, chef traceur d’essais du challenge (17).            

Il n’y a pas de mage pendant lequel le rugby

Pierre Caillet, éternellement : “Aujourd’hui, on a besoin de vivre des matches majeurs, car en un match de phase finale, tu prends trois ans d’expérience. Si on monte en Top 14, on aura une année difficile avec des jeunes joueurs, mais le jour où on redescend, on sera stable. Je ne veux pas d’une équipe qui se désintègre en une année. On va dire que Pierre Caillet se fout du Top 14, bien sûr que non, sauf que je connais le rugby. Ce serait magnifique d’y aller pour la ville, mais après, il y a le contexte…”. 

Et de achever, dans adulation et gambade : “Ces trois dernières saisons, j‘ai eu des moments de doute, le club aussi, mais on m’a laissé travailler. Il n’y a pas de magicien dans le rugby, désolé. À Béziers, quand c’était compliqué, tu pouvais mettre Eddie Jones à ma place, le club aurait été dans le même état.” L’ASBH surfe aujourd’hui sur l’bouillonnement d’un éprouvé qui a totalité commodément retrouvé le loyal d’y conjecturer.

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