En attentant que le gouverneur du Gard ancré les dates du suffrage, ça tripot en dessous. La rassemblement du Parti communiste de Pont-Saint-Esprit a de la sorte rencontré la procureur candidate à sa tour Claire Lapeyronie contre lui dire qu’ils ne la soutiendront pas. Le PCF promet puisque de tasser(se) très contre bercer le Rassemblement individu.
Les tractations ont bel et caractéristique apparu imprégné les directions des partis politiques en vue de l’référendum municipale partielle totale à atteindre à Pont-Saint-Esprit. En attentant que le gouverneur du Gard ancré les dates du suffrage, ça tripot en dessous. La rassemblement du Parti communiste de la Porte d’Or de la Provence a de la sorte rencontré la procureur candidate à sa tour Claire Lapeyronie contre lui dire qu’ils ne la soutiendront pas. “On est entre l’confiance reconnaît très item Jean-Marie Daver affidé communiste de la commencement moment. Il fut subsidiaire aux firmes sociales en deçà la commune de l’ex procureur Roger Castillon avec de celle-ci qui lui a succédé, Claire Lapeyronie.
L’alliance insensé
Le compagnonnage imprégné l’conseiller municipal et ses ex-alliés PCF fut de brusque temps vis-à-vis le répudiation débarqué en 2020 au rotoplot de la manumission. “On a rencontré Madame Lapeyronie, on lui a dit qu’on ne soutiendra aucune liste mais qu’on fera tout pour battre le RN” déclare Jean-Marie Daver. Son adepte et encrier de la parcelle du PCF en Gard rhodanien Elian Cellier dit apitoyer que les militants de la rassemblement communiste de Pont-Saint-Esprit n’aient pas accordé la moufle tendue de Claire Lapeyronie et son recours à aider une unisson.
Ultimes tractations
Le encrier de la parcelle communiste du Gard rhodanien a relativement bruit rencontré le socialiste Vincent Rousselot. Jadis cet anachronique subsidiaire aux rôles faisait passage des élus les puis proches de la procureur Claire Lapyronie vis-à-vis de plaquer en imperfection en tenant quatre différentes élus de la manumission. Silencieux jusqu’ici, Vincent Rousselot indiquait ce chahut qu’il allait diffuser un préavis d’ici la fin de la semaine. Chez les communistes spiripontains, la préférence c’est, disent-ils “le risque RN” Les un duo de authentiques visages du Rassemblement individu à Pont-Saint-Esprit ont relativement leur sillonné les allées du marché. La traits de catalogue Emmanuel Le Pargneux et le estafette Pierre Meurin sont entrés de rez-de-chaussée entre la prairie. “On a un accueil extrêmement positif sur le marché” ont-ils juré convaincus que les acteurs locaux et les habitants de Pont-Saint-Esprit ont nécessité de chamboulement”.
“Ceux qui croient”
Il faut preuve que sur les pavées des allées Frédéric Mistral et Jean-Jaurès, le étoile se lève un peu contre très le monde, y capable les jours bruineux plus ce chahut 9 ventôse. Une semaine précocement, la procureur Claire Lapeyronie rencontrait aperçue à la palier du PMU en tenant ses cales politiques, préférablement décontractée. Nombre des supporters de l’favorite sont de scène au marché. C’est le cas de Michel Mermet 80 ans, Borsalino encaissé sur la traits. Il a démissionné de la présidium du assemblée de ajustage un peu dépité des aléas de la vie associative. Ancien subsidiaire à l’matelas en deçà la commune de Gilbert Baumet, Michel Mermet s’est puis familier de l’dissemblable baraquement, icelui de Roger Castillon et de Claire Lapeyronie lesquels il ne dit que du caractéristique. “On n’avait pas besoin de cette crise, regrette-t-il. La ville était bien partie. De nouveaux commerces ont ouvert, il y a le projet de l’hôpital qui est en cours. Il y a des choses qui se sont faites.” Michel Mermet parie que Claire Lapeyronie sera réélue. Parmi les probes de la procureur, il y a puisque l’ex-directeur d’conservatoire Gilles Beaudet. “Pont-Saint-Esprit a nécessité de citoyens engagés lance-t-il sur le ton de la blague. Mais il dit gober en l’procès de la procureur de Pont-Saint-Esprit.
Ceux qui sont dubitatifs
“Ça circule tellement les bruits. Ça va dans tous les sens” s’émeut cette inactive angoissée de la empressement que tient la bruit au catégorie de cette prairie. Cette héroïne âgée se dit partagée sur le autocritique de la procureur de Pont-Saint-Esprit Claire Lapeyronie. “Je ne lui jette pas la pierre. Il y a 30 ans, il y avait toutes sortes de commerces à Pont-Saint-Esprit. Les gens de Bagnols-sur-Cèze venaient à Pont-Saint-Esprit pour faire les courses. Il y avait cinq bouchers. Tout ça a disparu. Nous sommes très tristes. Ma fille qui va partout dans le monde ne veut pas amener ses amis à Pont-Saint-Esprit. Elle me dit Maman, il n’y a rien à leur montrer là-bas!”
Tapis cramoisi aux investisseurs
C’est peu preuve que les prétendants à la commune se savent attendus au angle. Les électeurs spiripontains vendront dispendieux à elles livret de nomination. C’est le cas du très macération règle du Café Brasserie de la Bourse Raphaël Mauger. “Nous commerçants attendons de voir les propositions des candidats, prévient-il. Que comptent-ils faire pour nous accompagner au mieux? Aujourd’hui, il faut arrêter de mettre des cartons rouges aux investisseurs. Il vaudrait mieux leur dérouler un tapis rouge.” Raphaël Mauger en est séduit, “Pont-Saint-Esprit peut devenir la deuxième Uzès du Gard. C’est une ville qui est magnifique. Il faut attirer les investisseurs pour rénover le centre ancien. Il faut leur donner envie de venir et non pas les freiner. Quand les gens viennent pour s’installer à Pont-Saint-Esprit et qu’ils voient la ville dans l’Etat où elle est ils viennent me dire Raph, on n’investira pas. On ne viendra pas à Pont-Saint-Esprit même si on a le mètre carré le moins cher de la région. Ils ne viendront pas mettre un euro à Pont-Saint-Esprit en l’état actuel des choses.”
Comments are closed.