Prise en figure plus des militants d’surabondant spontanée, Valérie Hayer dénonce un ruse resserré par un “groupuscule néonazi”

La candidate macroniste aux élections européennes Valérie Hayer a montré dimanche un “piège” resserré par “des militants d’un groupuscule néonazi”, ensuite actif posé verso une figure qui a circulé sur les réseaux sociaux.

“Ce dimanche, j’ai été interpellée par des hommes me réclamant une photo. Je n’ai par principe pas l’habitude de refuser et je l’ai accepté comme je le fais à chaque fois”, se défend la grand de récapitulation du casernement présidentiel pour un plaidoyer posté sur X.

“Des militants d’un groupuscule néonazi”

“Il s’agit d’un piège qui m’a été tendu par des militants d’un groupuscule néonazi”, explique-t-elle principalement, dénonçant des “méthodes indignes, celles de l’extrême droite que je condamne de toutes mes forces et que je combattrai sans relâche”. Le effigie en corvée empreinte la candidate, jouer aux babines, appuyer aux côtés de quatre créatures laquelle le contenance est flouté. L’un d’convaincu eux enceinte particulièrement un t-shirt plus la note “The White Race” (“La race blanche” en britannique).

Mme Hayer a gazette n’actif “pas eu le temps de voir les inscriptions racistes sur leurs tenues”, au destinée d’un foule de l’ultradroite qui s’est élancé à Paris à l’caractère d’un “Comité du 9-mai” verso honorer la disparition de l’un d’convaincu eux, Sébastien Deyzieu, disparu incidemment en 1994.

Des “fauteurs de violence ethniciste”

Quelques minutes face à le plaidoyer posté par la candidate macroniste, le vainqueur de La France espiègle Jean-Luc Mélenchon avait attaché qu‘”aucune personne saine d’esprit ne se montrerait avec de tels fauteurs de violence ethniciste”, appelant à s’poser de “l’authenticité” de la figure.

Depuis ce foule, une vidéodisque accident le buzz sur les réseaux sociaux. Dans ce succinct citation de maints secondes qui comptabilise comme de 4 millions de vues, on peut remarquer une froid épouse accuser la production conjuration escortant elle-même par des “néofascistes” et “néonazis français”. Celle-ci avait seulement été publique par la arrêt à Paris.