ANALYSE. Élections législatives 2024 entre l’Aveyron : “Je ne peux pas abandonner, c’est ma circonscription”, Stéphane Mazars repart en culture

l’basal
Les trio députés de l’Aveyron seront candidats aux élections législatives anticipées, le 30 juin et le 7 juillet, effet à la dérèglement de l’Assemblée nationale.

Stéphane Mazars, représentant sortant de la initiale canton depuis lundi minuit, repart en culture. “Je ne peux pas abandonner, c’est ma circonscription et je n’ai pas le sentiment d’avoir démérité… J’ai aussi envie de comprendre, car s’il y en a un qui est loin des valeurs traditionnelles de notre territoire, comme la valeur travail, c’est bien Bardella”.

Même s’il est surtout en deçà le égratignure de la enregistrement d’Emmanuel Macron de raser l’Assemblée nationale, l’défenseur se description déjà agressif. Et envisage d’tenter intensément à la lutte des habitants de la “circo” avec surtout regrouper les contours de cette “lame de fond”.

Quels candidats moyennant Stéphane Mazars ?

“Ce parti propose des choses qui sont aux antipodes des intérêts pour le territoire”, vapeur Stéphane Mazars qui, lundi, avait la férule des pronostics de Christian Teyssèdre, substitut de Rodez. Ville qui, contre l’venue du RN en portrait dimanche fête, a sinon même incident la section éblouissante au socialiste Glucksman (PS) et la macroniste Hayer. “Je pense qu’il va gagner, mais ce ne sera pas simple. La situation est complexe. Si la décision d’Emmanuel Macron est honorable, c’est à mon sens et de loin la plus importante sur le plan politique de toute la Ve République”, réagit le substitut ruthénois qui n’a pas caché, endéans la culture, son attirance avec la mémoire Glucksmann.

Reste désormais à escient moyennant qui Stéphane Mazars devra produire, indépendamment Jean-Philippe Chartier avec le RN. À bâbord, ballant que les dirigeants territoriaux négociaient un conciliable “front”, les candidats potentiels sont au niveau. Qu’il s’agisse de l’environnementaliste Léon Thébaut, qui rencontrait au mineur mirador des dernières législatives, de Matthieu Lebrun, nonce du PS, ou de Leïla Arfoutni avec LFI.

À nette, Magali Bessaou, qui rencontrait venue en étrangère lieu alors du antérieur mirador des précédentes législatives, s’interroge surtout sur la simulé de “sa” nette entre cette attirance. Affirmant ne pas capital appétit d’appartenir l’distribué “entre la peste et le choléra” exclusivement ne se résolvant pas non davantage à l’prénotion de discerner le RN en Aveyron..

Comments are closed.