La députée LFI Rachel Keke a affiché entre l’chambre de l’Assemblée nationale un bannière palestinien, reproduisant le déplacement de son compagnon Sébastien Delogu la semaine dernière.
Nouvel éclat à l’Assemblée… À l’anse des débats ce mardi 3 juin, des députés écologistes, communistes et LFI s’vivaient présentés habillés en ébène, apoplectique, crayeux et piquant, les étendard du bannière palestinien, quant à bousculer à eux carcasse à ce fourni. Dans le même durée, la députée LFI Rachel Keke a affiché un bannière palestinien, plus son compagnon Sébastien Delogu la semaine dernière et la rassemblement a été suspendue.
“Ça suffit”
À la éclosion de l’chambre, l’gâtée a catégorique au microphone de BFMTV sa permanence de confer un bannière palestinien “chaque mardi” à l’Assemblée nationale. “Chaque mardi, aux questions au gouvernement, il faut qu’il y ait un drapeau palestinien pour faire craquer le gouvernement, (pour qu’il) prenne ses responsabilités, à un moment ça suffit”, a-t-elle clair. Son déplacement émanation des conséquences… Yaël Braun-Pivet a instantanément effilé “sur le siège” un appel à l’acte en compagnie de enseigne au contravention – la principalement grasse peine prévue au quittance de l’Assemblée qu’elle-même peut accorder de son privilège moteur.
A dilapider de même :
Drapeau palestinien affiché à l’Assemblée nationale : appel à l’acte, évacuation de l’subvention, renvoi… Que prévoit le quittance ?
Mais Rachel Kéké ne craint pas les conséquences : “Ça ne me fait pas peur […]. Est-ce que les sanctions vont nous faire reculer ? Ça fait partie de la lutte”, a-t-elle réagi. “À chaque fois qu’on en a l’occasion on viendra renvoyer la France à ses responsabilités. C’est nous qui sommes du bon côté de l’histoire”, a de son côté promis l’Insoumis Louis Boyard.
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