Sophie Borderie, présidente du avertissement départemental de Lot-et-Garonne : “Refusons le trait d’union entre la République et l’extrême droite”

l’basique
“D’Européen, le débat redevient de fait national”, déclare Sophie Borderie. La présidente du avertissement départemental lesté “le pouvoir en place à la tête de l’État” et le administrateur Macron. Pour elle-même, “un nouvel espace politique s’ouvre pour les forces de gauche”.

Sophie Borderie, présidente de obtus du avertissement départemental, s’est consignée, ce dimanche réunion, sur la bassesse de l’discussion nationale par le administrateur de la État. Elle trajet “à se projeter dans une perspective réellement humaniste, solidaire, écologiste et juste”. “Je m’engage, assure-t-elle, à prendre personnellement toute ma part dans ce combat d’idées et de valeurs, car un avenir plus radieux est possible, pour nous et pour nos enfants”.

La présidente Borderie fustige le aggrave en appuyé. “Ce soir, notre pays connaît un mouvement de bascule politique sans précédent, entériné par le président de la République annonçant la dissolution de l’Assemblée nationale. Si les vagues populistes submergent beaucoup de pays européens, avec un score du Rassemblement national qui dépasse les 30 % dans l’Hexagone (et même bien plus dans les territoires ruraux comme le Lot-et-Garonne), les résultats de ce scrutin signent l’échec du président de la République dans sa tentative têtue de bipolarisation de la vie politique française entre libéralisme et extrême droite. De barrage factice, le pouvoir en place et son gouvernement se dévoile ce soir en marche pied de cette même extrême droite”.

“Il nous faut pouvoir rassembler les forces de gauche “

Pour la présidente du Lot-et-Garonne, le résultat méchamment imposant du RN aux élections européennes “en dit long sur le sentiment de relégation ou de déclassement d’un grand nombre de nos concitoyens”.

Elle développe : ” Il nous faut prendre très au sérieux cette expression de colère et de désespérance de celles et ceux qui apportent leurs voix à des candidats prônant le repli sur soi et la stigmatisation. Pour autant, face à ce réflexe protectionniste, émerge un modèle alternatif : non pas celui de la « start-up nation » dans une Europe libérale, mais le modèle d’une Europe puissance publique, sociale, écologique, humaniste, juste et démocratique… Ce modèle est celui porté par Raphaël Glucksmann et ses colistiers qui, au terme d’une magnifique campagne, déterminée et claire dans ses valeurs, ont su emporter l’adhésion de 14 % des suffrages exprimés. Un score que je salue et qui participe du total des voix d’un bloc de gauche représentant ce soir la deuxième force politique du pays”.

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