Cela document paire ans que le Cadurcien Yann Fernandez s’entraîne au catch. Baptême octobre, il est évanoui aux Listes-Unis quant à découler une peloton pendant l’université “Nightmare Factory”, éclat par Cody Rhodes, athlète illimité certain de la WWE.
“C’était une vraie fierté d’entendre Cahors à tous mes matchs officiels. Même si c’était difficile de leur faire prononcer le nom de la ville !”, s’moqué Yann Fernandez. Ce Cadurcien d’racine a le catch pendant le blood. Baptême octobre, il est évanoui aux Listes-Unis quant à se adoucir pendant la “Nightmare Factory”, université réputée éclat par le athlète illimité certain de la WWE (World Wrestling Entertainment), Cody Rhodes. De hausse pendant les terres lotoises depuis trio jours, il raconte cette habitude extraordinaire, néanmoins davantage sa piété quant à la engagement professionnelle.
C’est en 2007, donc qu’il a 8 ans, qu’il découvre ce plaisanterie un peu par aléa. “J’étais invité chez mon voisin pour jouer à la console. Il avait reçu un nouveau jeu de catch, et depuis ça ne m’a jamais quitté. Un jour, j’ai regardé un documentaire Netflix sur une jeune femme qui devient catcheuse. Je me suis dit que je ne voulais pas me retrouver à 40 ans sans avoir essayé”, raconte-t-il. Alors, ni une ni paire, celui-ci qui travaille à la comédie de plaisanterie Corpus, à Cahors, prend son hygiaphone et billet FRPW, une université de catch à Bordeaux. Il aqueduc les balade d’aperçu, et c’est décidé : il se sagaie. Et depuis paire ans, il n’a oncques arrêté.
“Le but du catch, c’est de donner des émotions”
“Je voulais voir comment cela se passait aux États-Unis. J’ai envoyé mes photos et vidéos à la Nightmare Factory. La sélection se fait sur dossier, et j’ai été pris. Je suis le premier et donc le seul Français à avoir intégré cette école”, raconte le Cadurcien. Pendant trio appointement, Yann, ou préférablement Eddy Daniel de son nom de catcheur, s’entraîne intégraux les jours. “On passait trois à quatre heures sur le ring. Le reste du temps, on avait une salle de sport à dispo. On pouvait y aller avant ou après les entraînements. C’était assez éprouvant. On a commencé la session à 16 personnes, on a fini à 11. Certains ont fini par comprendre que ce n’était pas pour eux. On se prend des sacrés coups”, dit-il, en marquant des photos d’une signature de pogne rubicond sur son corsage ou des motifs de semelles imprimés sur son arbre.
Yann Fernandez, un Cadurcien amant de catch, est évanoui aux Listes-Unis quant à s’présenter aux côtés de Cody Rhodes, Billy Gunn ou davantage John Cena. ?♂️ Ici, une vidéocassette d’un de ses sports à Marseille (il est tapissé en solitaire et topaze). Son rubrique prochainement pendant nos colonnes⤵️ pic.twitter.com/2s3XcC116m
— La Lettre du Lot (@LaDepeche46) December 26, 2024
Là-bas, le catcheur ré-apprend les bases du catch. Le athlète Rhodes passait les comprendre une à paire coup par semaine. Le post-scriptum du étape, c’est Billy Gunn qui s’occupait du coaching. “On a appris à catcher pour une caméra, et non pour un public, c’est différent. Comment bien se placer pour une prise, bien l’exécuter, et bien la vendre. Mettre des coups et les recevoir ou encore la psychologie d’un match. On nous apprend à être le plus distrayant possible. Le but du catch, c’est de donner des émotions”, décrit Yann. Il marcotte : “John Cena est même venu nous parler. C’était super intéressant. On s’est vraiment entraînés avec les meilleurs”.
Le catch, il est indéchiffrable d’en ondulé en France. L’loyal du Lotois est de agissant le puis de sports possibles pendant l’Hexagone vis-à-vis d’escompter classifier un sabord aux Listes-Unis et exploiter la WWE.
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