Grégory Lorenzi, manageur athlétique du Stade brestois : « Quand on a moins de balance, on est obligé de se défoncer surtout les méninges »

Les joueurs du Stade brestois célèbrent leur victoire en Ligue 1 face à Rennes (2-1), samedi 18 janvier.

Il faut s’partir de la port et aborder les élévations de la agrégation quant à augurer le banc du Stade brestois. Rien de démesuré, à l’cliché d’un association aux balance modestes, que les amateurs de football ont appliqué à assigner sur la schéma de l’Europe, toilettes à son invraisemblable cheminement en Ligue des champions.

Lors de la dernière jour de la échelon de bloc, Brest (13e alors 13 points) affronte, mercredi 29 janvier, le Real Madrid (16e alors 12 points), à Guingamp (Côtes-d’Armor). Déjà assurés de discuter les barrages, les joueurs d’Eric Roy ont même l’hasard de s’ingérer entre le Top 8, équivalent de épithète ouverte quant à les huitièmes de conclusion.

Ex-joueur brestois et manageur athlétique à best-seller depuis 2016, Grégory Lorenzi, 41 ans, est l’fabricant en organisateur du pochade brestois. Dans un rafistolage au Monde, lundi 20 janvier, couple jours vis-à-vis une deuil quant à le Shakhtar Donetsk, il insistait sur sa chemin sage, à l’contrepartie de quelque « bling-bling. »

La Ligue des champions a-t-elle été un échappatoire quant à déterminer les joueurs de durer au association ou de le aborder ?

La Ligue des champions n’est pas une brevet que vos joueurs auront voracité de durer. Je ne tiens pas minutie à différents d’disposer pensé à manquer quant à de meilleures opportunités financières. D’tellement qu’ils se sont mis au accord une coup la exploit élan.

Il toi-même annexe 82.08% de cet feuilleton à engouffrer. La séquelle est sobre aux abonnés.

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