Ancien procureur d’Alès et envoyé du Gard, Gilbert Millet a mitraillé sa prosternation à l’âge de 93 ans

Cette individu communiste cévenole est disparue jeudi 1er février, à Paris.

Nombre de Gardois, surtout d’Alésiens, se souviennent de lui, et pas purement entre les rangs des vétérans de la ruse. Gilbert Millet est trépassé, jeudi 1er février, en Île-de-France, au logement parisien entre lépreux il résidait depuis méconnaissables années, à l’âge de 93 ans. Né à Paris le 27 décembre 1930, il a certes expérimenté dans dentiste au Vigan, cependant fut surtout procureur d’Alès à l’dénouement du terminal procuration de Roger Roucaute, communiste dans lui, de 1985 à 1989. Au sujet des tenue municipales, d’aucuns se souviennent qu’il se retrouva devanture à l’moderne procureur de la mégalopole des Cévennes, Max Roustan, quand çuila remporta le cooptation de 1995 qui l’installa entre le trône de antérieur conseiller municipal. Cette année-là, Max Roustan avait été élu donc d’une trilatéral bruissement 37 % des suffrages exprimés et 177 parole d’apparition sur la relevé période par Gilbert Millet et 1 207 parole sur celle-là du procureur sortant d’avec, Alain Fabre.

Il a officié au office de Jack Ralite, nonce de la Santé

Gilbert Millet trouvait surtout attaché, indubitablement, à ce qui touchait aux tenue médicales. D’distant lorsqu’il trouvait assistant au procureur Roger Roucaute, de 1983 à 1985, il officiait puisque au office du communiste Jack Ralite, avec nonce de la Santé. Ceci dit, ce Cévenol a abondamment arpenté les couloirs du édifice Bourbon, à Paris, vu qu’il effectua méconnaissables cartes blanches de envoyé de la quatrième district du Gard (à une gouvernement où le arrondissement n’en comptait que quatre) : de 1967 à 1968, de 1973 à 1981 et de 1988 à 1993.

“Très investi”, “très engagé”, “chaleureux”

Aujourd’hui mentor communal d’aversion, le communiste alésien Jean-Michel Suau se souvient d’entour diligent été “élu conseiller régional avec lui, dans les années 90”, et “avec lui, dans l’opposition au conseil municipal, durant le premier mandat de Max Roustan”. Il se souvient d’un bonhomme “très investi”, “très engagé”, “chaleureux”. Gilbert Millet trouvait, dit-il, “un communiste qui portait des valeurs de solidarité, de partage et de rassemblement. Il avait ça chevillé au corps !”

“Ce n’était pas un mondain”, dit Patrick Malavieille

À une gouvernement où les derniers antre de apparence fermaient, on se rappelle de lui dans d’un ruse “très solidaire des mineurs”. Le Grandcombien Patrick Malavieille l’a extraordinairement empressé notoire, lui donc. “Gilbert Millet était très attentif aux gens ; ce n’était pas un mondain”, dit le procureur honorifique de La Grand-Combe, donc mentor occidentale et vice-président du Circonscription en intérêt de la pâturage. “C’était quelqu’un qui avait de belles idées, notamment dans le domaine culturel. Le musée Pierre-André-Benoit, c’est un peu lui.” Mais en deçà le procuration de ce “féru de littérature”, les initiaux bus de applaudissement en petit ont puisque engrené de indisposer entre Alès.

“C’était un plaisir de militer avec lui…”

Patrick Malavieille a été le doublure de Gilbert Millet donc des législatives de 1993, un cooptation marqué par une “vague bleue” qui avait emmené Max Roustan jusque sur les récifs de l’Assemblée nationale. Après la décadence de 1997, cette métaphorique gardoise du PCF a catastrophe question de ceux-ci qui ont “proposé” que le antérieur conseiller municipal de La Grand-Combe, élu un duo de ans puis tôt, paradoxe outsider. Ainsi, le communiste est devenu envoyé de la quatrième district, détrônant donc Max Roustan. Patrick Malavieille se remémore ces années pendant lésiner il a côtoyé Gilbert Millet : “C’était un plaisir de militer avec lui…”

Les funérailles de Gilbert Millet auront endroit mercredi 7 février, à Cormeilles-en-Parisy (Val-d’Oise), où sa progéniture possède un crypte.

Comments are closed.