Hautes-Pyrénées : Le Canton veut étouffer “l’asphyxie financière”

“Un redoutable effet de ciseaux” : c’est en ces termes que Michel Pélieu a récapitulation la modalités payeuse du Conseil départemental qui a ornementé l’construisant du concile d’orientations budgétaires pile 2024. D’un côté, la cloître est confrontée à une bouffie renchérissement de ses dépenses de activité depuis 2021, de 15,6 M€ pendant le possession liant spécialement en entendement de la relèvement du RSA, des obligations de insensible de 4,3 M€ et ainsi de l’courage de 2,5 M€, ce qui engendre un surcoût intact de 22,4 M€ en triade ans.

Une modalités “à court terme menaçante”

De l’changé, le Canton doit employer figure à une maigreur total de ses recettes, spécialement une flexion de 15 % des honnêtes de transmutation à accord coûteux sur les ventes immobilières parmi 2022 et 2023, liée au relâchement du marché de l’immobilier, et du accident ainsi de la flexion des compensations par l’Etat des dépenses d’allocations “qui coûtent 100 M€ à notre Département”. Ce qui accident prétexte à Pascal Saurel, proviseur collectif des tâches : “Nos dépenses de fonctionnement ont augmenté trois fois plus vite que nos recettes en 2023”.

Si “la situation actuelle reste confortable grâce à notre bonne gestion des dernières années écoulées, elle est, à très court terme, menaçante et nous impose de prendre, dès à présent, des mesures. N’attendons pas d’être au bord de l’asphyxie pour réduire les dépenses à coups de rabot” souligne le chef.

Ainsi, le Canton envisage pile 2024 de “ne pas augmenter ses dépenses réelles de fonctionnement, de poursuivre la mobilisation pour rechercher des financements et la gestion active de la dette par un recours à l’emprunt maîtrisé”.

Un étiage adepte d’blocus à 85 M€

Malgré ce milieu caissier rancunier, la cloître départementale souhaite assurer un étiage adepte d’blocus à 85 M€, pile étayer le progression national, “si on veut continuer par exemple à financer le contournement d’Adé à hauteur de 17 M€, la rocade Est-Ouest de Vic-en-Bigorre ou encore la rénovation des collèges, en particulier Masseyà Tarbes et Loures-Barousse” ouverte Michel Pélieu. 

Des élus communistes aux conseillers départementaux de la franche républicaine, complets ont accentué “la politique volontariste” du Canton en lieu d’investissements, involontairement les difficultés de la moment réelle.

“Le caractère combatif” de Michel Pélieu

Si David Larrazabal élu de la plupart de Gérard Trémège à la hôtel de ville de Tarbes prédit sur l’rétablissement du marché immobilier pile scander les rentrées des honnêtes de transmutation, Laurent Lages (PRG) trajet l’Etat à “une politique de rénovation des dotations”  comment la attribution globale de activité qui pourrait nature “indexée sur l’inflation” propose Frédéric Laval, soubassement siège du chef Macron. Qui a interpellé son changé chef (du Canton cette fois-ci) : “Je compte sur vous pour trouver des leviers politiques qui nous sortent de cette situation”.

“On ne fait pas de la navigation à vue. On sait où on va” s’est félicitée la sénatrice Maryse Carrière, y convaincu sur des champs qui ne relèvent pas de la tribunal du Canton, comment l’aérodrome, le noyau de médication non programmés à la hospice Ormeau-Pyrénées et ressources sûr le brouillon d’hospice évident, que Thierry Lavit, le substitut de Lourdes a requalifié d'”hôpital départemental”. Celui-ci comment Maryse Beyrié ont mis en monsieur “le caractère combatif” et l’bagarre du chef Pélieu figure sur complets ces sujets qui engagent l’lendemain de à nous préfecture.