Toulouse : les policiers municipaux en emportement de toute la commune rassemblés antérieurement la commune de la Haute-Garonne

l’basal À l’proclamation d’une ouvert intersyndicale au gain territorial, davantage de double cents policiers municipaux ont manifesté, sabbat 3 février, antérieurement la commune à Toulouse, avec la confession de à eux état.

De grouillant rassemblements et manifestations de policiers municipaux ont eu endroit, sabbat 3 février universellement en France, et à Toulouse où “environ 250 policiers municipaux venus de toute la région se sont rassemblés devant la préfecture de région”, subséquent Zouaouia Bossard-Refas (FSU).

Un balcon de fer envers le situation

Une ouvert intersyndicale – CGT, CFDT interco, Unsa, CFTC, Sud, ANCTS, Syndicat territorial de la confiance commune, SNPM, Coalition nationale – et d’distinct section les syndicats FO et FO PM ont rappelé à un impulsion plein de revendications jambage sur à eux données de boum. Ils souhaitent “la reconnaissance de notre pénibilité” et veulent “bénéficier du système de bonification quinquennale”. La emportement terne depuis étranges traitement.

“Depuis octobre 2023, assurent les syndicats, le collectif des policiers municipaux en colère, soutenu par plusieurs syndicats et associations responsables et décidés à faire bouger les lignes sur le volet social, a engagé un bras de fer avec le gouvernement pour que ce dernier accède enfin à d’évidentes revendications trop longtemps attendues, qui n’ont pas été prises en compte depuis près de 25 ans”. Notamment, en vrac, une réévaluation salariale, l’redoublement et l’gabelle de la complément gendarmerie au taxe paroxysmique avec complets à calculer dans lequel le supputation des fidèles à taverne de inoccupé. Les policiers municipaux réclament comme une “révision des grilles indiciaires pour une classification en catégories supérieures (B, A, A +)” et bref “l’attribution d’une année de bonification tous les 5 ans”.

“Il y a un trop-plein”

“Si on demande à changer de catégorie, c’est notamment parce qu’on fait six mois de formation avant d’être assermenté, explique Zouaouia Bossard-Refas. Il y a un trop-plein dans la profession, car on nous donne de plus en plus de prérogatives mais sans le volet social qui va avec. On prend les mêmes risques que nos collègues de la police nationale mais nous ne sommes pas assez considérés”.
 

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