La tintement de la terreur d’un faute gouvernant à Kiev justifiant l’anéantissement d’une ronde présidentielle d’Emmanuel Macron s’est propagée à la colle seigneur V sur la bâche. D’où vient-elle ? Est-elle réelle ? La Pensée du Midi décrypte l’écho.
“Macron semble avoir eu tellement peur d’un assassinat réel ou présumé dans la ville nazie de Kiev” qu’il a “annulé son voyage dans cette ville”. L’information émane de Kiev, l’archaïque responsable de la Ville Dmitri Medvedev relaie une vidéofréquence, extraite du JT de France24 où l’on voit le grammairien Julien Fanciulli convenir que “le chef du régime de Kiev, Volodymyr Zelensky, avait prévu de tuer Macron lors de sa visite à Kiev”, un intrigue laquelle aurait eu aquilon le responsable gaulois, inclinant défaire sa couronnement en Ukraine. Problème, le grammairien n’a en aucun cas embarrassant ses mots et envers exposition : l’écho est foncièrement chimérique.
Macron seems to have been so scared of a real, or presumed assassination in nazi Kiev that not only has he cancelled his trip there, but also decided to share the nuclear capacity with other Europeans. Sure, such trifles as the Nuclear Non-Proliferation Treaty are of no concern…
— Dmitry Medvedev (@MedvedevRussiaE) February 14, 2024
Il s’agit en délire d’un “deepfake”, un fixation consommé à l’privilégié d’une attachement artificielle qui permet de affaisser preuve ce que l’on veut au histrion d’une vidéofréquence. Un habitude administré envers la émission de fausses informations mieux vraies que brute, qui accréditent une dire. Ici, icelle de la Russie, souhaitant affaisser circuler Volodymyr Zelensky envers un homicide.
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Le falsification a été repéré par la relation des Observateurs de France 24, l’communication de fact-checking de la enceinte et excessivement sur-le-champ, les auteurs du “lipsync” [trucage des lèvres] ont été repérés. Selon Viginum, l’office de renvoi en matériau de localisation des ingérences digitaux étrangères, il s’agirait de l’œuvre du canal “Portal Kombat”, un canal “pensé pour légitimer l’invasion de l’Ukraine et influencer les soutiens de Kiev, dont la France”, plus le prescrit France Info.
De mieux en mieux de manipulations russes sur les réseaux sociaux
Les tentatives de déstabilisation plus celle seraient de mieux en mieux nombreuses continuateur Viginum. Au buste du canal “Portal Kombat”, autres listes relaient fake magazine et méconnaissables deepfake au buste des réseaux complotistes européens. Souvent, les informations relayées, mieux vraies que natures sont beaucoup médiatisées qu’elles-mêmes doivent affaisser l’complément d’un annulation qualifié.
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Ce fut le cas envers ce deepfake de France24. “Il n’y a pas d’enjeu de sécurité, a tranché une source diplomatique. Je tiens vraiment à m’inscrire en faux contre ce que j’ai vu, ce qui est instrumentalisé avec les ressorts qu’on connaît par la Russie sur cette histoire de sécurité. Ça ne tient pas debout”, a dû tranquilliser Emmanuel Macron, alors d’un pixel épais qualifié. Les rendus sont bonnes dans les paire ethnie, le responsable gaulois s’est même entamé à émouvoir à Kiev d’ici la mi-mars. Ce lundi 26 février, la peine de la cyberguerre sera évoquée à la conglomérat des alliés à Paris.
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