L’adoption graduelle du multicloud devient une évidence au poitrine des industries, l’routine de méconnaissables fournisseurs cloud favorisant une diversification des fonctionnalités et des offices proposés aux clients. Pour tant, le ardeur d’une banque au multicloud peut soudain s’vérifier gênant aussi en termes d’prise système qu’en pilotage de coûts, de licences, de anéantissement et entreprenant sûr de calme. Ces dernières années ont d’éloigné été marquées par des incidents majeurs gardant produit des interruptions de offices et/ou pertes de occasion parmi les industries. En 2023, un ardent pendant celui-là du data-center de Clichy, qui est d’éloigné l’une des zones de vacuité de Google Cloud, avait alerté sur les fragilités du cloud…
Spécialisée parmi le déploiement et la vérification d’applications web, la startup nîmoise LayerOps parti, à l’données du hall VivaTech (22 au 25 mai 2024 à Paris), sa toute primitive estrade multicloud et hybrid cloud qui vise à niveler la pilotage opérante envers les industries.
Résilience et liberté
Créé en 2019, LayerOps (triade collaborateurs), dépôt de la compagnie NIM-HQ, a fouillé cinq ans envers poser au enclin une modèle qui permettrait aux équipes informatiques de se monopoliser sur à elles courage situation préférablement que sur la pilotage système des singuliers fournisseurs.
« Notre solide spécificité, relativement à la conflit est à nous autorité à agglutiner les singuliers fournisseurs cloud, indique Nicolas Martinez, CEO de LayerOps. Les industries peuvent adopter de posséder d’une haute vacuité en multi-fournisseurs ou de chanceler de l’un à l’divergent de chochotte transparente, hormis empressé à se songer de la pilotage des singuliers clouds. La modèle répond à quatre caves majeurs : la résilience, la exactitude du largesse en cas de lardon comme un ravitailleur, la portabilité des applications et la liberté des occasion. »
Une dizaine de fournisseurs américains et gaulois
Faisant tonner le fermoir système, la estrade SaaS dédiée permet comme, forcé l’extérieur multicloud, de prestige mélanger les richesse sur le cloud découvert verso des richesse privées approprié à l’banque via ses propres serveurs hébergés parmi ses locaux ou parmi des data-centers de voisinage.
« A brutalement d’une même liaison, l’banque peut adopter hein répartir ses richesse informatiques, bondée Nicolas Martinez. Aujourd’hui conciliable verso huit fournisseurs cloud – AWS, Scaleway, Google Cloud, Azur, OVH… -, à nous modèle harmonisé le déploiement déraisonnable des applications de nos clients. L’entreprise agitation une netteté bondée et peut bénévolement conduire ou attaquer ses mémoires de facturation. »
Une concupiscence internationale
Pour intensifier sa modèle, LayerOps a déjà installé 500.000 euros (autofinancés via sa compagnie) et crédit sur un correspondance d’participation absolution à un procédé d’forfait : un précurseur plancher (400 euros par mensualité) permet de conduire jusqu’à vingt serveurs, verso un abondance immodéré d’applications et d’utilisateurs.
Dans son judas : des cabinets web, des développeurs, des ESN ou des grands origines gardant indigence de résilience envers abriter et tranquilliser à eux applications.
« VivaTech devrait nous-mêmes fournir une céleste netteté, projette le CEO de LayerOps. Nous misons considérablement sur la étymologie d’un biotope dans les fournisseurs cloud par conséquent que sur des partenariats verso des éditeurs de logiciels. Notre marché est mondial. »
La startup, qui recrute une paire de développeurs, devrait aborder, d’ici la fin de l’période, une SaaS altesse découvert.
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