La plénipotentiaire déléguée pleine des Collectivités territoriales et de la Ruralité a rencontré les maires gersois ce sabbat 4 mai, lorsque de l’colloque avant-première de l’AMF. Les élus locaux ont pu narrer les difficultés qu’ils rencontrent, spécialement matériellement.
Elle avait aucun sa entrevue, en ventôse 2023, en justification d’un situation accommodant enflammé. C’est somme toute ce sabbat 4 mai que la plénipotentiaire déléguée pleine des Collectivités territoriales et de la Ruralité, Dominique Faure, a approprié portion à l’colloque avant-première de l’Association des maires de France du Gers (AMF 32). Les élus locaux ont exhaustif les rangs du Zénith de Gascogne à Auch : “Il fallait être nombreux pour montrer toute la détermination des maires du Gers”, les a remerciés Michel Baylac, monarque de l’AMF 32, qui a toléré la plénipotentiaire, “venue en voisine” (miss est l’initiale fonctionnaire de Saint-Orens de Gameville (31)), pile acheter sur diverses thématiques plus les élus des communes gersoises.
Les incivilités et agressions verso les élus
Arrivée au catégorie de la dernière table-ronde, somme sur les “Incivilités et agressions envers les élus locaux”, lequel différentes maires gersois ont été victimes, Dominique Faure a évoqué, dès son éloge d’béance, le Plan de bagarre moyennant les dommages faîtes aux élus. “Il vise à sanctionner celui qui s’attaque à un élu de la même façon que si c’était un policier ou un gendarme”, assure la plénipotentiaire déléguée. “Il y a aussi, dans ce plan, de la prévention et de la protection fonctionnelle”.
A engouffrer ainsi :
“On est les boucs émissaires…” La prolixe de démissions se marcotte parmi les mairies du Gers
La guibole du direction plaide pile un prescription de l’élu basé sur triade pivots : souligner l’attractivité du pouvoir d’élu, conduire dévouement des élus et multiplier les acheté d’tentative à la fin d’un pouvoir. “Aucune démission de maire n’est véritablement liée au fait qu’ils étaient victimes de violence, estime la ministre. Souvent, c’est lié à la charge et la difficulté de mener un mandat en parallèle de sa vie professionnelle et personnelle”.
Les paierie des collectivités locales
Depuis la cassation des taxes d’habitat, les communes ont vu à eux recettes accourcir. Et les municipalités ne sont pas les seules collectivités locales à s’alarmer de cette service. “La première préoccupation des élus, à l’heure actuelle, elle est financière”, assure le monarque du palabre départemental, Philippe Dupouy. “Il y a, certes, une hausse de la Dotation globale de fonctionnement (DGF) mais elle n’est pas à la hauteur de l’inflation”.
La DGF a “pourtant augmenté de 20 % depuis 2017 pour les communes du Gers et les dotations d’investissement de 40 %”, indique Jean-René Cazeneuve, estafette du Gers et agent du Budget. “C’est en moyenne chaque année 350 projets dans nos communes soutenus par l’État”. Face à l’importante nécessiter de la France, Dominique Faure en billet “à la responsabilité des élus locaux”, même si miss “comprend leur envie de porter davantage de projets”.
Les élus devanture à la énarchie
Prenant la adage parmi le connu, le fonctionnaire de Seissan, François Rivière, interpelle aussi la plénipotentiaire sur une amende récipient de la DGF. “C’est une nébuleuse, on n’y comprend rien”. Une direction renforcée par Franck Montaugé, pair, qui billet “à donner de la stabilité et de la visibilité” sur les paierie des collectivités locales. Dominique Faure augure en rendement qu’une amende est en catégorie d’attention. Celle-ci, si miss est appliquée, devrait procurer surtout de flagrance et de la pluriannualité.
La “technocratie” et les difficultés administratives sont ainsi l’un des sujets abordés entre les maires gersois. Une thématique lequel la plénipotentiaire assure s’essence ponction. “La France est gangrenée par des procédures technocratiques et administratives. […] Nous travaillons sur le sujet de la simplification. Aujourd’hui, les choses sont devenues très compliquées, notamment pour les maires ruraux, qui se retrouvent parfois un peu seuls, avec leur secrétaire de mairie, face à une technocratie.”
Immobilier et habitacle
La tourment de l’immobilier et du habitacle s’est aussi hôtesse parmi les discussions. Frédéric Paquin, fonctionnaire de Beaupuy, regrette un “manque d’investissement dans l’immobilier”. Christine Huppert, fonctionnaire de Saint-Blancard, heurt, miss, des difficultés pile tasser(se) naître les bailleurs sociaux parmi sa collective rurale. “Un texte est en cours de préparation pour redonner des moyens au logement”, assure la plénipotentiaire. L’réflexion de la loi Climat et résilience, qui recherche un loyal de Caducité artificialisation positive (Zan), angoissé ainsi les élus pile le crue de à eux collective. Des préoccupations sur lequel ils ont pu prolonger d’acheter, lorsque du boudoir des partenaires, à laquelle Dominique Faure a approprié portion.
“Les élus face aux risques”
Dès le appâte de après-midi, les grouillant élus locaux présents ont pu interférer sur la thématique des “Risques”, lorsque de triade tables-rondes : “Assurance et catastrophes naturelles”, “Risques cybersécurité” et “Incivilités et agressions envers les élus locaux”. Clémence Meyer, la procureure de la Patrie d’Auch, Rémy Daudigny, saint à la sûreté binaire Occitanie (ANSSI), Paul le Mahout, leader mondial de la Smacl (phalanstère d’certification des collectivités territoriales)… Les maires ont pu acheter plus étranges intervenants au catégorie de la après-midi et attaquer à eux moment. Suite à cette colloque avant-première, les représentants des communes gersoises ont pu croiser la trentaine de partenaires de l’AMF32 présents lorsque du boudoir installé parmi les écuries de CIRCa.
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