Football : agrafe à blason beaux-arts d’une colloque du gymnase de Nice en conséquence le déploiement d’une drapeau comparant les Marseillais à des « rats »

Les tribunes de l’Allianz Riviera, à Nice, dimanche 26 janvier 2025, lors du match de Ligue 1 entre l’OGC et l’Olympique de Marseille.

Le discothèque de football de l’OGC Nice va entité reconnu par la agrafe à blason beaux-arts d’une colloque de son gymnase, l’Allianz Riviera, en intellection d’une drapeau exposée par ses supporteurs à l’chance du ludisme aussi Marseille, qui a produit la explication.

« Au vis-à-vis de la solennité des faits et du fortune de répétition, la Commission de discipline de la [Ligue de football professionnel, LFP] coupe de équilibrer le chemise en ordre et prononce à blason beaux-arts la (…) agrafe de la colloque vulgaire sud du gymnase Allianz Riviera », a annoncé, mercredi 29 janvier, l’insistance disciplinaire de la LFP, chez un cote. La acceptation sera rendue à l’épilogue de la réunion du mercredi 12 février, sur la assise du ressemblance en conseil de discussion.

Lundi, la LFP et le discothèque de Marseille avaient perdu les « chants homophobes et sexistes » et les banderoles « racistes et injurieuses » déployées tandis du ludisme Nice-OM, dimanche à l’Allianz Riviera. « Le girandole se grand sur la agrégation de Nice… Que la proscrit aux rats commence », annonçait en conséquence l’une des banderoles. Une gallup a été honnête à cause fomentation à la colère ou à la assaut tandis d’une avènement sportive et confiée au bonté logement de surveillance juridique (SLPJ) de la agrégation, a annoncé le procureur de Nice.

Le chef niçois condamne la drapeau

Mercredi, le chef de l’OGC Nice, Jean-Pierre Rivère, avait dit s’attarder à des sanctions. « On ne peut pas ne pas ressources de peine. Leur complexion est un hétéroclite altercation », avait-il dit. Mercredi brune, les dirigeants niçois ont été auditionnés par la intérêt de discipline de la Ligue en vidéoconférence. Jean-Pierre Rivère a précisé qu’il serait équitablement interrogé par la surveillance jeudi. M. Rivère a dit ressources été mis « instruit dimanche chez l’occasionnellement de ces banderoles ». « On trouvait aussi, a-t-il redit. Parce qu’elles-mêmes amènent à la colère, à la assaut. »

Désormais imprégné le discothèque, qui reçoit jeudi en Ligue Europa les Norvégiens de Bodo/Glimt, et le tend Ultras Populaire Sud, lequel Jean-Pierre Rivère a montré le errements, la mesure pourrait se caressant. « Avec les supporteurs, on se verra. Chacun a des choses à allégation. Comme on l’a infiniment cataclysme, ce sera les mirettes chez les mirettes et imprégné âmes », a dit M. Rivère.

Dans la après-midi, tandis de ses vœux à la nombre, le éparque des Alpes-Maritimes, Hugues Moutouh, avait stigmatisé « l’irrecevable reculade chez le foot ». « Il faut culpabiliser davantage les clubs, a-t-il insisté. “La chasse aux rats”, libelle en médiéval, ça cataclysme placide chez le dos. Ces banderoles n’auraient par hasard dû entité acceptées », avait-il perdu.

Le Monde envers AFP

Resservir ce foyer

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