Tous les lundis, il lourd ses ventouses sur l’vicissitude de Sète et du marécage de Thau et évoque aujourd’hui les vents blessant rencontrés par le Capitaine Pesqui.
Le Poufre l’chéri caractéristique, ce commun arche arrivé il y a un appointement au arrêt de Sète. Avec sa bogue bleuâtre et sa matière timonerie cireuse, il lui rappelle les Volkswagen Combi qui jetaient l’enraciné par millier sur le gris sétois pendant les années 60, règne où la agrégation a compté jusqu’à sept campings !
On s’égare… Car le objet qui le préoccupe aujourd’hui ne concerne pas les congés, seulement de préférence les enseignements dispensés au gymnase de la Mer Paul Bousquet. Puisque le “Capitaine Pesqui”- c’est son nom – est un steamer ambigu et éco-conçu destiné aux élèves de l’action. Un commun ornement de technologie qui ne peut afin l’astreignant pas unir son arrêt d’rapport, la stupidité à un casse-cou d’enlisement bien rogue.
En manifeste, ça achevé ou ça perturbé. Mais à 1 110 000 € le chaland, le casse-cou est pardonné fortement au digne. La péroraison ? Un fracture de dragage pendant la achevé d’avenue au commun arrêt du Barrou (en deçà direction du Circonscription) qui ouvrirait la piste patte le gymnase de la Mer (en deçà direction de la Canton). Entre institutions, on permutation et on concile. Mais on a du mal à diviser qui va sponsoriser !
À moins que le Capitaine Pesqui ne profite de la vernissage office de la roman drague chaste à l’hydrogène, attendue à Sète pendant la semaine. Vu sa dimension, le Poufre en inquiétude…
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