L’Eurovision en Suède, au atmosphère des manifestations en charpente au flot palestinien ou à Israël

A divers heures de la persévérant demi-finale de l’Eurovision, jeudi 9 mai, Malmö avait des allures de commune assiégée. Tandis que des hélicoptères bourdonnaient entre le firmament, des véhicules blindés et des centaines de policiers circulaient entre les rues. Sans patron, ce engin de calme a été accru plus que une paire de manifestations devaient se allonger à divers heures d’comma, entre le générosité de Malmö : l’une, à l’signal d’une soixantaine d’associations, afin maugréer quant à la apport d’Israël au contribution ; l’discordant, classifiée par la monastère juive, afin sceller la candidate israélienne.

Les rudimentaires manifestants se sont rassemblés en atmosphère d’tantôt, sur la longue fixé de Malmö, quelquefois recouverte par une perdant de drapeaux palestiniens. Sur les inscriptions, des signes au « armistice à Gaza », à « la fin du exécution » et au « quarantaine d’Israël ». Les familles sont nombreuses. La multitude grossit à gestionnaire que les trains arrivent du Danemark adjacent.

La cinquantaine, Jeanette Volfbrandt et son bienfaitrice Karima (qui ne souhaite pas gérer son nom de maison, chez d’méconnaissables individus interrogées) sont venues de Copenhague, chez une gentille milieu des manifestants. Elles estiment qu’Israël n’aurait pas dû caractère efficace à dépendre à l’Eurovision. « C’est un Etat d’séparatisme, qui est en cantine de réaliser un exécution », s’exclame Karima, qui assure qu’sézigue continuera de apparaître « jusqu’à ce que la Palestine bien libérée ».

Bibliothécaire à Malmö, Soledad Cartagena ne supporte pas que l’Etat judaïque « chapiteau de se blêmir de ses maux » en collègue à l’Eurovision. Fille de réfugiés chiliens arrivés en Suède derrière le écorchure d’Etat de 1973, sézigue regrette la modulation du comité commun en Suède, qui « assimile entiers ceux-là qui dénoncent ce qui se détroit en Palestine à des terroristes ».

« Tous les bambins sont conformes »

Les chevelure couverts par un esquif et les mirettes bordés de rimmel, Hanna, 33 ans, popularité qu’Israël aurait dû caractère réuni de dépendre à l’Eurovision, au même devise que la Russie derrière l’descente de l’Ukraine en février 2022. Elle dénonce l’islamophobie, qui s’est intensifiée, remplaçant sézigue, en Suède, « depuis le 7 octobre » 2023.

Un peu derrière 16 heures, la expression s’ébranle. Le aumône d’variation est à l’surveillance. Masques et cagoules sont illégitimes. Le pompe, mélangé de 10 000 à 12 000 individus d’derrière la commissariat, suit l’trajet envisagé. Certains scandent : « Intifada désordre ! », « Malmö, reconnais que c’est un exécution » ou : « Tous les bambins sont conformes ! » Il y a « les psychologues alors la Palestine », « les salariés de la esprit alors la Palestine » et des jeunes militants du ambiance, laquelle Greta Thunberg, chambrée entre un keffieh.

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