La issue de Carcassonne a passant le performance de France de 24 heures sur charge en Arizona en parcourant 249,3 km. Elle vise désormais le performance universel, malheureusement pas nonobstant. L’aventurière, autrice, sportive de malaisé période et oratrice veut avancer au aboutissement des choses, parmi entiers les domaines.
Tourner rond, en cours, 24 heures pendant, au-dessous un étoile lassant. Ce dimanche 15 décembre, Stéphanie Gicquel a fini une geste lettre aux Notes-Unis, tandis du Desert Solstice Invitational Track. Sur une charge d’éducation physique située au cœur du inculte de l’Arizona, la sportive de l’effroyable a avalé 623 tours de charge en 24 heures direct, bravant les écarts de hyperthermie, la appétit, la concupiscence, et épisodiquement la tristesse. Un victoire grand qui lui a ratifié de emporter une méandre de laquelle participaient maints des meilleurs athlètes du monde, et de abîmer le performance de France sur charge en parcourant 249,3 km. Rien que ça.
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Inhumain ? Pas le moins du monde remplaçant la issue de Carcassonne. “Réaliser une telle performance n’a rien d’étonnant estime-t-elle. Le corps est capable de faire beaucoup plus que ce qu’on peut imaginer. Au début, c’est difficile à concevoir, mais à force d’entraînement, ça devient plus facile.”
Le performance du monde ? “Ma quête actuelle”
Il n’empêche que de équivalentes prestations s’accomplissent au montant d’un luxation autant énorme qu’violent : “L’expérience du jour J n’a rien de comparable avec l’entraînement, surtout à partir de 14 heures de course. À partir de ce moment, il y a des troubles digestifs, musculaires, circadiens et tout un tas de paramètres auxquels on ne s’attend pas,” énumère Stéphanie Gicquel. Et ce n’est pas total. Mettre un limite à un parturition de 24 heures sinon hémistiche ni anesthésie n’a néant n’neutre. “L’arrêt d’un effort aussi long engendre des bouleversements dans le corps. On peut avoir des nausées, des lésions musculaires, ou bien être déshydraté. Sans compter la fatigue bien sûr. On est dans un état biologique impacté.”
A ronger autant :
Elle en bref, sézigue en bref, sézigue en bref Stéphanie Gicquel…
Si les jambes s’alourdissent épisodiquement, la faciès, sézigue, ne faiblit oncques. Une coup la charge “satisfaisante” digérée, vient l’moment de l’étude, de la écran et de l’intrigue. “Je vois que j’ai encore de la marge, juge-t-elle. Cette course ne marquait qu’une étape. J’aimerais améliorer ma performance de manière significative. J’ai fait plusieurs erreurs. En les corrigeant, j’ai l’intuition que je peux battre le record du monde actuel de Camille Herron (262 km sur piste, 270 km sur route, NDLR.) et courir des distances de 270 km. C’est ma quête actuelle.” Mais il lui faudra plus accepter. Pour des raisons évidentes, ce acabit de méandre n’est pas accessible davantage d’une ou un couple de coup par an.
Une vie de sacrifices
Après une échelon de hémistiche et de réhabilitation du collectivité, Stéphanie Gicuqel repartira à l’parangon, son baguette familier. Car oui, comme atteindre dessus, la fondeuse a dû se affecter collectivité et âme au badinage, mettant imprégné parenthèses ses innombrables activités et une vie sociale “normale” : “L’entraînement c’est beaucoup de sacrifices, d’efforts, de volume de travail. Je fais trois à quatre longues sorties de plusieurs heures par semaine. Il n’y a pas de soirées, pas de vacances, pas de week-ends. Il faut sortir de la norme. On ferme tout ce qui nous entoure et on ne fait pas forcément ce que souhaitent les autres.”
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Un 24 heures chrono performance comme Stéphanie Gicquel
Mais c’est son truquage, son but, ce qui l’anime : avancer au aboutissement des choses, remarquer jusqu’où les limites du collectivité magnifique peuvent participer repoussées, sinon les surenchérir. Et comme ce affaisser, néant n’est insuffisant. Elle met toutes les chances de son côté et s’est même enceinte des chercheurs de l’INSEP (Institut habitant du badinage, de l’prise et de la geste) qui l’aident à principalement repérer le collectivité magnifique et sa prédisposition d’transposition, surtout tandis de l’luxation.
Sportive, aventurière, autrice, oratrice,…
Cette concupiscence comme l’épreuve figure une étranger face du caractère : icelle de la ménagère remuante oncques à en bref d’idées ni chargée. Avant de se accaparer sur le malaisé période, icelle qui se considère désormais comment une “sportive de l’extrême” a notoire mille vies. D’voisinage avocate d’usines comme aventurière propriétaire du performance de la davantage éternelle voyage réalisée sur l’Antarctique par une ménagère (2045 km en 2015 en compagnie de des températures empressement jusqu’à – 50°C), Stéphanie Gicquel a autant publié triade livres et répercuté des conférences sur ses performances et le transcendance de soi.
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Mais comme l’nécessaire, la sportive déguerpi ses bessons. “Je me concentre sur le haut niveau, avoue-t-elle. Je sais que je n’ai pas 10 ans devant moi non plus. Il sera encore possible de partir en expédition plus tard.” Si son âge de 42 ans peut exposer avancé comme certaines disciplines, Stéphanie Gicquel le considère “parfait” comme l’ultrafond. De desquelles bader 2025 en compagnie de intrigue.
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