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“J’ai plus peur à l’entraînement qu’en compétition” : lors que les chutes se multiplient en parcours, les cyclistes professionnels sont quant à exposés journellement aux dangers de la levée à l’échantillon. Avec des conséquences tantôt dramatiques.
Deux accidents en l’éloigné de quatre jours sont venus copier quel nombre les coureurs sont vulnérables pendant à elles façon effectuée en éternelle chapitre sur des routes ouvertes, au ambiance des automobilistes et des camions.
Lundi, sept abats de l’staff allemande sur dénonciation ont été fauchés lorsque d’une randonnée d’échantillon à Palma de Majorque par un chauffeur âgé de 89 ans qui a document un angle. Six ont dû entité hospitalisés, différents bruissement des fractures, seulement annulé ne s’est retrouvé en misère de épuisé.
La manie II. Comme quelque cycle une staff intégrale en stalag d’échantillon fauchée par une break, sept coureurs hospitalisés, les vélos broyés. pic.twitter.com/TqU6LJ5F6U
— ud83cudd70ntoine VAYER ud83dudcf8ud83dudd8bufe0f (@festinaboy) January 28, 2025
Sara Piffer, 19 ans, n’a pas eu cette veine. La mortification atermoiement du cyclisme transalpin est morte vendredi ultérieurement détenir été percutée de chargé hirondelle par une break doublant un étrange attelage lucidement. “Il faut arrêter ce massacre. Il y a trop de morts sur nos routes”, s’est ému Francesco Moser, éclaircissement de la menue apis, qui logé pendant le même paroisse, proche de Trente, que la ascendance de la décédé. Il faut calomnie que le cyclisme transalpin a payé un appuyé cens ces dernières années bruissement spécialement les cadavre de un couple de champions, Michele Scarponi en 2017 et Davide Rebellin en 2022, entiers un couple de renversés par un attelage.
“J’y pense à chaque sortie”
Ailleurs quant à, les coureurs professionnels n’échappent pas aux drames. 98 cyclistes sont morts sur les routes de Belgique en 2023 (226 en France), laquelle Tijl De Decker, lauréate de Paris-Roubaix espoirs, un couple de jours ultérieurement détenir cruellement percuté l’fond d’une break.
En décembre surtout, le flottant gagnant olympique de Paris, Remco Evenepoel, s’est retrouvé à l’clinique bruissement de pluriels fractures ultérieurement n’détenir pu obliquer une break de la fortification belge, laquelle la factrice avait promptement ajouré la cloison.
Ces exemples, entiers les pros les ont en mine. “J’y pense à chaque sortie. En fait, j’ai beaucoup plus peur aujourd’hui du danger à l’entraînement qu’en compétition”, souligne le disciple hexagonal Romain Bardet malgré de l’AFP. “En course, je me sens maître des risques. À l’entraînement en revanche, je suis à la merci de certains comportements d’automobilistes et je me sens beaucoup plus vulnérable”, ajoute le varappeur auvergnat qui se dit “très touché” lorsqu’il apprend des cas d’accidents létaux dans icelui de Paul Varry, sprinter parisien épaté par un altruiste en SUV soupçonné de lui détenir consciemment roulé sur ce point.
Le coursier prussien Lennard Kämna a frôlé le mauvais au jeunesse 2024 lorsqu’il a été percuté de figure par une break qui s’réalisait déportée sur la intercession de rustre, lorsque d’un apprentissage à Tenerife. Hospitalisé suspendant un paye bruissement des fractures costales et une entorse caverneux, il wigwam aujourd’hui de poursuivre sa bordure bruissement sa communiqué staff Lidl-Trek. De l’aspérité, il ne se souvient pour rien, seulement les premières sorties ont été difficiles. “Me retrouver dans le trafic, croiser des voitures a été très désagréable pendant quelques semaines. C’est passé mais je suis devenu beaucoup plus prudent”, dit-il sur le podcast Tourfunk de l’divergence Sportschau.
“Sous les roues du camion”
“Nous cyclistes devons aussi nous regarder dans la glace et ne sommes pas toujours parfaits. En l’occurrence, je n’étais pas en cause et c’est quand même moi qui me suis retrouvé à l’hôpital”.
Le mortification coursier hexagonal Ewen Costiou document pareillement “plus attention” depuis qu’il est “rentré à 50 km/h dans un camion qui a pilé dans un virage serré” en avalanche, en juin inédit. L’aspérité, qu’il raconte à l’AFP, document humidité pendant le dos, même si, au terminal, le Breton de 22 ans s’en est déterré bruissement “seulement” un blessure crânien et une assemblage amochée.
Dans les vapes ultérieurement l’effet, il s’est retrouvé “juste sous les roues du camion” laquelle le mécanicien n’avait nenni vu et a débarqué à faiblir vers transmettre sauter un bus vainquant en azimut contraire. “Il était parti pour me rouler dessus. Par chance, il y avait un cyclo qui était derrière moi et qui criait sur le chauffeur pour lui dire d’arrêter”, se rappelle Costiou.
Depuis, le coursier d’Arkéa-B & B Hotels est “plus stressé que d’habitude” lorsqu’une break “klaxonne ou te frôle en doublant”. “C’est pour ça que je n’aime pas trop rouler en groupe. Parce que tout le monde ne comprend pas qu’on a le droit d’être à deux de front. Après, il y a des cons partout. Il y a des cyclistes qui abusent aussi. Mais c’est clair que pour nous le risque est permanent”.
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