“Trois ans de présidence, c’est fatigant” : David Tebib ne dirigera principalement la Ligue nationale de balle à la main

Mardi, le commandant de l’Usam Nîmes passera la droite à Fabrice Boutet, un occulte parmi le principe du balle à la main métropolitain, commandant des remontées machinaux à l’Alpe-D’huez.

David Tebib a retrouvé le satisfaire. Son Usam Nîmes redresse la barreau un peu principalement quelque vacance. Neuf matches hormis revers qui lui permettent d’demeurer désormais la sixième situation de la Starligue. En attendant davantage. Dans les tenue de la sorte, le patron gardois se frotte les mains. En septembre, il lancera une journal “aventure entrepreneuriale”, une monastère de genèse et de franchise de manèges de monastère conformément nos informations.

Ce gageure, à la dimension de ce cadet pétulant, vient équilibrer la fin d’une disparate récit. Après divergentes années de enchanteurs et honnêtes impératifs à la figure de la Ligue nationale de balle à la main (LNH), David Tebib a décidé de gravir la droite. Mardi, il sera remplacé par Fabrice Boutet, commandant des remontées machinaux à l’Alpe-d’Huez uniquement occulte au escouade du “hand” métropolitain.

“De la mauvaise foi, de l’injustice”

“C’est un garçon intelligent, promet Tebib. Je suis heureux de lui passer le témoin dans de bonnes conditions, de manière extrêmement fluide. Trois ans de présidence, dans des circonstances parfois exceptionnelles, c’est fatigant. Il était temps d’amener un œil extérieur, d’oxygéner tout ça”. Bombardé monarque en complet Covid (août 2020) ensuite le amorcement d’Olivier Girault, évoqué comme entretenir la mentionné ensuite la capitulation mouvementée de Bruno Martini en avril 2023, pas hardiment épargné par ses pairs à ses prémices, l’intéressé aurait pu démissionner maintes jour.

“Les six premiers mois ont été difficiles. On me reprochait d’être juge et partie. C’était méconnaître l’institution, ses commissions totalement indépendantes. Tout ça a fini par s’estomper. Ai-je été touché ? J’ai trouvé qu’il y avait souvent de la mauvaise foi, de l’injustice, mais c’est surtout mon entourage qui était affecté.”

Une journal parole comme le compétition ?

À l’moment de abandonner le bateau, David Tebib se dit “fier” de son acte. Notamment ses initiaux pas pendant la contagion. “Il fallait continuer à avancer, à jouer, à innover, à convaincre les présidents. C’est à ce moment-là qu’on a lancé Handball TV, qu’on est passé à un championnat à 16 clubs… “

David Tebib salue de la sorte la apport en tenant beIN SPORTS. “Sécuriser les droits TV jusqu’en 2026, à raison de 4 millions d’euros par saison, avec une exposition, une ligne éditoriale, des journalistes qui s’investissent, ce n’était pas évident. On sait combien il est compliqué aujourd’hui d’avoir une relation privilégiée avec un partenaire premium pour la diffusion de son sport. Ça ne ruisselle (l’argent) pas forcément dans les clubs mais ça permet de financer une ligue forte, avec de l’expertise.”

Son substitut ne devrait de rien saccager. À action possiblement le proportion de match. “On y pense depuis de nombreuses années avec toutes les familles, joueurs, entraîneurs. Le système mis en place en Ligue des champions de football a connu un certain succès. Avec beaucoup de suspense et de très grosses affiches. C’est un modèle intéressant dont on peut s’inspirer. Le moment venu, ce sera au nouveau président de le présenter. Je me garderai bien de rentrer dans les détails.”

David Tebib regardera ça d’un peu principalement absent désormais. Mais vis-à-vis de brutalement, il glissera totalement un terminal mot à l’ormeau de Fabrice Boutet : “La LNH est au-dessus de tout, c’est un bien commun”.

Comments are closed.